michelconrad' Blog

Le violon aime l’archet, le papier la plume qui trace le poème, le silence le chant du merle, la voile le vent de l’océan, le rivage la mer, l’horizon le soleil levant, – et c’est ainsi que je vous aime.
 
17/8/20
 
 
 
 
"Crépuscule" (16/8/20). Tous droits réservés...

Vous enchantez le temps,
vous éclairez son cours,
il devient feu ardent,
dans la nuit, dans le jour,
 
vous éclairez son cours,
vous lui donnez un sens,
dans la nuit, dans le jour,
il est une espérance,
 
vous lui donnez un sens
il s’ouvre aux quatre vents,
il est une espérance,
vous en...

Dans un siècle plus éclatant,
vous fûtes reine, ma princesse,
autrefois, il y a longtemps,
– en vous est la seule noblesse –
 
vous fûtes reine, ma princesse,
quand j’étais simple troubadour,
– en vous est la seule noblesse –
et je vivais déjà d’amour,...

Chaque mot authentique suit un cheminement dont on ne décide pas : il faut traverser bien des désespoirs pour écrire un mot d’espérance.
 
 
29/7/20
 
 
 
 
"Roses de juillet " (28/7/20). Tous droits réservés.
 
https://nsa40.casima.../20072907261...

On ne peut commencer une histoire d’amour, sans se dire qu’elle sera éternelle : c’est la façon que nous avons de poursuivre les étoiles.
 
 
27/7/20
 
 
 
"Barques dans la brume" (22/7/18) Tous droits réservés.
 
https://nsa40.casima.../27/20072708...

Roses trémières :
sémaphores,
 
vous étoilez l’itinéraire
du temps d’aimer.
 
 
 
25/7/20
 
 
 
"Roses trémières" (25/7/20). Tous droits réservés.
 
https://nsa40.casima...05093740301.jpg

Martin-pêcheur,
tu te poses sur une branche,
 
et tu t’envoles, aussitôt,
mais ton plumage bleu roi
 
a éclairé la rivière.
 
 
22/7/20
 
 
"La rivière" (2017). Tous droits réservés.
 
https://nsa40.casima...90321983083.jpg

Il y a des amours qui donnent à notre cœur la force nécessaire pour affronter la haute mer.
 
 
21/7/20
 
 
 
"Roses trémières" (21/7/20). Tous droits réservés.
 
https://nsa40.casima...55355128793.jpg

De ton cœur à mon cœur,
mille liens sont tendus,
les fragiles bonheurs,
les étoiles perdues,
 
mille liens sont tendus,
comme vibre la vie,
les étoiles perdues,
dans l’éternelle nuit,
 
comme vibre la vie,
en sa grande douceur,
dans l’éternelle nuit,
de ton cœur...

Il n’est d’été qu’auprès de mon amour
et, si loin d’elle, il n’y a que l’hiver,
or je languis sous le fardeau des jours,
en prononçant de nombreuses prières,
car mon amour semble ne pas entendre
mon impatience et ma soif de l’aimer,
ni ce chagrin qui pourrait mon cœu...