michelconrad' Blog

Dans la plus profonde nuit, dans la forêt des solitudes, dans le temps, dans l’espérance, dans les parcours de la vie, dans l’horizon, dans la course des saisons, dans mes chemins à la poursuite d’une étoile, c’était, depuis toujours, votre douceur, votre présence, votre saveur, votre parfum, le timbre...

Par amour pour vous,
tout comme au spectacle,
j'attends tout de vous,
même le miracle,
 

la chose impossible,
le rêve exalté,
j'en ai fait ma cible,
ma seule pensée,
 

depuis tant d'années,
mon cœur vous appelle,
l'amour est resté
mon mythe éternel.
 
 ...

Le rêve
au même instant,
 

la nuit
et la lumière
 

la glace
et le brasier,
 

ton rire
à tout moment,
 

nos mots
aux quatre vents,
 

mon cœur
dans l'or du temps.
 
 

16/10/2020
  Miniature(s) jointe(s)
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Vos yeux bruns sont pour moi
la source et la rivière,
ils veillent sur mes pas
et désormais m'éclairent,
 

la source et la rivière,
l'automne et le printemps,
l'éternité entière
jusqu'à la fin des temps,
 

l'automne et le printemps,
même très loin de toi,
jusqu'...

Je vous l'avoue,
ma déraison,
je n'ai que vous,
pour horizon,
 

ma déraison,
mon seul soleil,
pour horizon,
et pour merveille,
 

mon seul soleil,
ma seule joie,
et pour merveille
je n'ai que toi.
 
 

2/10/2020
  Miniature(s) jointe(s)
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Bonheur de vous aimer,
de retrouver l'amour,
frêle, désespéré,
avant la fin des jours,
 

de retrouver l'amour,
l'ultime traversée,
avant la fin des jours
la joie de vous aimer,
 

l'ultime traversée,
avant le grand abîme,
la joie de vous aimer,
jusqu'aux dernières rimes....

Ce n’est rien de dire que vous peuplez mes pensées : vous êtes le soleil de chaque aurore, dans cette galaxie où votre voix, où votre rire m’ont fait entrer, où ma vie entière prend son sens, comme l’arbre s’enracine dans une terre, comme l’eau jaillit d’une source, qui est sa naissanc...

Lorsque nous serons loin
de cette vie fuyante
à l'abri des chagrins,
éloigné des tourmentes,
 

de cette vie fuyante,
que seront nos amours,
éloignés des tourmentes
bien loin du côté cour,
 

que seront nos amours,
dans le côté jardin,
bien loin du côté cour...

Les arbres sont des filtres où s’accrochent le Temps, les heures, les années, les paraphes de lumière, aux limites de l’aube, les chants d’oiseaux enfuis depuis la nuit des temps, les ciels de nuit sans lune, la pâleur des amants qui ont cherché leur ombre, les cris des animaux dont ils sont les témoins...

Je n’ai que l’amour de vous en tête, et c’est une bénédiction, un voyage, un envol. Vous me donnez, sans cesse, le juste diapason de ma vie, l’endroit exact où je me situe dans ma quête, sans cesse recommencée, sur le chemin de votre cœur. Assoiffé de tout votre être, je suis le mendiant...