Je n’attends que l’inattendu, je ne prévois que l’imprévisible, je ne rêve que de l’improbable, je n’espère que l’inespéré, je ne programme que ce qui ne peut advenir, je ne suis certain que de l’impossible, je ne crois connaître que l’inconnaissable, je ne m’octroie...
michelconrad' Blog
Dans les années heureuses de mon adolescence, en Lorraine, je découvris, un jour, par hasard, dans un tiroir, une photo d’identité, en noir et blanc, de ma mère, jeune fille, qui avait été prise pendant sa captivité, en Allemagne, durant la seconde guerre mondiale.
Sur cette photo , ma m...
Sur cette photo , ma m...
Tout mon amour pour toi
me sauve des brisures,
me conduit à l’aurore
à ce soleil de toi,
tous les jours se succèdent
dans la douceur de toi,
ton regard sur les fleurs
reconstruisant le monde,
et le temps du bonheur
succède à tant de nuit,
la lumière du cœur
éclai...
me sauve des brisures,
me conduit à l’aurore
à ce soleil de toi,
tous les jours se succèdent
dans la douceur de toi,
ton regard sur les fleurs
reconstruisant le monde,
et le temps du bonheur
succède à tant de nuit,
la lumière du cœur
éclai...
Il y a des feux, il y a des brasiers, il y a des amours. Il y a des rêves, il y a des désirs, il y a l’impatience. Il y a des heures, il y a l’infini. Il y a ta voix, il y a ton rire. Il y a le temps, il y a le printemps, il y a l’impatience, et au cœur du printemps, il y a toi que j’aime.
...
...
« Koperek » est un mot polonais, qui désigne une herbe aromatique, l’aneth. Ma mère avait demandé à mon père d’en planter dans le jardin, et, dès cet instant, il y en eut toujours. L’aneth entrait, de façon décisive, dans sa préparation des cornichons aigres-doux, en leur apportant u...
Les mots du poème pourraient être des mots perdus, mais ils ne le sont jamais tout à fait, car ce sont des graines jetées à toute volée dans le jardin des âmes, des graines qui attendent de fleurir pour donner à entendre à qui sait entendre, à qui sait lire à quel point je vous aime.
« ...
« ...
Quand j’étais adolescent, dans le café de mes parents, nous avions un client agriculteur, toujours vêtu d’un bleu de travail, si ponctuel, que pour savoir le degré d’avancement de la journée, nous nous demandions, : « est-ce qu’Albertin est déjà passé ? ».
Al...
Al...
Le verbe « aimer » n’a que deux syllabes, mais entendez-vous son tintamarre ? Ce mot peut renverser des empires. Dans la moirure d’un poème, il donne à voir et à entendre le diapason des choses.
Depuis que je vous ai rencontrée, depuis que vous êtes entrée de plain-pied dans ma vie, comme un gr...
Depuis que je vous ai rencontrée, depuis que vous êtes entrée de plain-pied dans ma vie, comme un gr...
Mon père aimait aller à la pêche. Lorsque j'avais treize ou quatorze ans, je l'accompagnais avec enthousiasme pour pêcher « à la brouillure ». Nous entrions dans la Meurthe jusqu’aux genoux, tout en remuant avec les pieds le sable au fond de l’eau, de sorte que nous attirions les ablettes et les goujons...
Tu es la source, la lumière au tréfonds des nuits, le brasero des jours d’hiver, l’orée de tous les printemps, la féerie de l’envie de vivre.
Le temps a pris tes couleurs, le jour ta saveur, le vent m’apporte ton parfum, ma main invente ta douceur.
Sur les mille chemins de l’amour et...
Le temps a pris tes couleurs, le jour ta saveur, le vent m’apporte ton parfum, ma main invente ta douceur.
Sur les mille chemins de l’amour et...
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