Le lierre, qui envahissait ma maison, et dont je suis venu à bout, il y a quelques années, a laissé ses minuscules ventouses noires , desséchées, sur le mur : ainsi de nos attachements anciens, qui ont, jadis, posé des ventouses invisibles sur nos coeurs et dont ressurgissent, quelquefois, --pitoyables fantômes de nos amours-- les ombres, sur la toile de fond de la mémoire.
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