Il n'y a pas d'oisiveté pour celui qui écrit : il n'y a que des minutes, fertiles et douces, comme un jardin d'Eden, ou d'autres, stériles et âpres, comme un désert sans fin.
Il n'y a pas de solitude pour celui qui écrit : il n'y a que les fantômes gémissants du passé, ou les rêves exaltés de l'avenir.
Il n'y a pas de solitude pour celui qui écrit : il n'y a que les fantômes gémissants du passé, ou les rêves exaltés de l'avenir.