« Le Sacre du printemps » : chorégraphie de Pina Bausch, ou comment la musique de Stravinski désarticule un corps émacié, comment elle impose son rythme, venu des origines du monde, à toutes les parties d'un corps, métaphore de l'émotion immatérielle, qui nous envahit tout entiers. L'irrépressible s'est mis en marche, comme dans la parole, quand les mots ne s'arrêtent plus.
H./Mer/16/2/11/19H15