Sur le radeau d’écume des marées,
nous arraisonnerons le navire du vivre,
disant adieu à la terre du mal de vivre,
j’embrasserai ton corps à toutes les attaches,
sur le radeau d’écume des marées,
sur la jonque d’eau claire des baisers.
Extrait de L'entrée dans le paysage/Besançon/1975