La cour du Palais Granvelle est restée silencieuse. Seuls, des touristes, allemands ou anglais, ont déchiré, de leurs voix pleines d’exclamations, son silence de cloître. Vous n’y êtes pas venue. Mon ombre, à moi, est restée sur un banc et assiste, depuis des jours, au mouvement de l’ombre des arcades, au fil du temps.
Extrait de Le Soir dans les Jardins/Besançon/1976
Source : La cour