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Depuis : Douce

Posté par michelconrad, 22 janvier 2014 · 361 visite(s)

 

Douce souffrance d’être loin

de toi, qui entrouvris la porte,

du corridor des années mortes,

en ces jours d’une pluie sans fin.

 

Je croyais mon cœur guéri

de ce doux mal qui le fait battre

plus vite qu’il ne l’a appris,

et brûler comme feu dans l’âtre.

 

 

 

extrait d'Un Fleuve de Lumière/Nancy/1982

avec un portrait de l'auteurpar Claudette Méline

 

 



Source : Douce



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