Terrain vague aux odeurs d’essence, de goudron,
on n’écrit que pour soi, on n’écrit que pour soi,
l’orchestre de Salzburg à la MALS de Sochaux,
la solitude, le sentiment d’être seul,
la dérive des mots dans la nuit du bonheur,
dans la nuit sur Sochaux et le bonheur possible,
je n’ai pas dit la solitude : le sentiment
de solitude. Quelque chose comme l’oubli,
dans une nuit de pluie de vent et de tendresse
quand dorment les banlieues sous le halo du songe.
on n’écrit que pour soi, on n’écrit que pour soi,
l’orchestre de Salzburg à la MALS de Sochaux,
la solitude, le sentiment d’être seul,
la dérive des mots dans la nuit du bonheur,
dans la nuit sur Sochaux et le bonheur possible,
je n’ai pas dit la solitude : le sentiment
de solitude. Quelque chose comme l’oubli,
dans une nuit de pluie de vent et de tendresse
quand dorment les banlieues sous le halo du songe.
5/3/1977
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