Les sentiments ne se flétrissent pas : ils se minéralisent, deviennent cristal, aigue-marine...
Le manque est insidieux : c'est un souvenir, une image, le timbre d'une voix, une intonation, – et tout cela s 'éloigne lentement, appareille vers le continent des choses qui n'existent plus que par éclairs, dans nos mémoires.
Il reste la flamme du désir, un feu qui ne peut pas s'éteindre.
Le manque est insidieux : c'est un souvenir, une image, le timbre d'une voix, une intonation, – et tout cela s 'éloigne lentement, appareille vers le continent des choses qui n'existent plus que par éclairs, dans nos mémoires.
Il reste la flamme du désir, un feu qui ne peut pas s'éteindre.
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