Le vrai ressort de l’écriture, c’est notre fragilité, notre vulnérabilité, notre condition de passant incertain, passager de l’abîme, au milieu de tout ce qui, quoi qu’il advienne, est appelé à nous survivre.
L’écriture s’inscrit, ainsi, comme une chose infiniment fragile, un contre-feu dérisoire, face à ce gigantesque incendie, programmé pour grandir et s’éteindre, quand plus rien ne l’alimente : la vie.
L’écriture s’inscrit, ainsi, comme une chose infiniment fragile, un contre-feu dérisoire, face à ce gigantesque incendie, programmé pour grandir et s’éteindre, quand plus rien ne l’alimente : la vie.
29/12/17
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