Il y aurait un « printemps des poètes » ? Le reste de l’année, la poésie ne serait pas consubstantielle à leur souffle, l’amour serait « aux abonnés absents » ? Les lecteurs de poésie, tous ceux pour qui la poésie est une fenêtre vers le ciel, se dispenseraient-ils, un heure, un instant, d’en lire, d’en rêver ?
2/3/18
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