Le temps où je n’y serai plus,
il trotte, il vient, à pas menus,
je n’ai pas vu venir celui
dans lequel je vis aujourd’hui,
on croit toujours à l’immuable,
mais la vie court comme le sable,
et nos amours sont emportées,
tout comme on moissonne les blés,
ce joyau de l’heure qui passe,
il s’évapore dans l’espace,
les chagrins sont des améthystes,
qu’idéalisent les artistes,
seul le poème est un écrin
qui peut recréer le matin,
et préserver le grand ciel bleu,
en son grimoire merveilleux.
il trotte, il vient, à pas menus,
je n’ai pas vu venir celui
dans lequel je vis aujourd’hui,
on croit toujours à l’immuable,
mais la vie court comme le sable,
et nos amours sont emportées,
tout comme on moissonne les blés,
ce joyau de l’heure qui passe,
il s’évapore dans l’espace,
les chagrins sont des améthystes,
qu’idéalisent les artistes,
seul le poème est un écrin
qui peut recréer le matin,
et préserver le grand ciel bleu,
en son grimoire merveilleux.
4/4/18
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