La page blanche est un pays sans sentiers, chemins, ni routes, auquel ne mène aucune carte géographique. Quand on y entre, on ne peut pas ne pas penser aux mots d’ Antonio Machado : « le chemin se fait en marchant ». Vieille de plusieurs siècles, cette aventure est, pourtant, étonnamment moderne. Ce pays est, aussi, sans limites : c’est ce qu’évoque le titre de Julien Gracq : « Liberté grande ».
17/5/18
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