L’imagination a toujours été la première de mes facultés. Au lycée, quand le professeur rendait les versions latines, classées par ordre de mérite, j’étais toujours le dernier de la classe. Un jour, le professeur déclara, à mon sujet : « Conrad lit le latin dans le marc de café ». A défaut de comprendre la moindre phrase de Cicéron, j’imaginais son discours, son épître, – et le résultat était évidemment sans commune mesure avec le texte latin.
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