Âme qui s’effraie de l’amour,
à la tristesse non feinte,
tu as mis tes beaux atours,
je prie les Saints et les Saintes,
pour obtenir ta tendresse :
à rien ne servent mes plaintes !
Désespérant des caresses,
j’ai pour écho le silence,
et je vis dans la détresse,
d’une interminable attente.
à la tristesse non feinte,
tu as mis tes beaux atours,
je prie les Saints et les Saintes,
pour obtenir ta tendresse :
à rien ne servent mes plaintes !
Désespérant des caresses,
j’ai pour écho le silence,
et je vis dans la détresse,
d’une interminable attente.
25/7/18



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