Terre de silence,
où il faut revenir
pour entendre la petite musique
des siècles,
terre de labeur,
repliée sur elle-même,
qui ne se donne pas
au premier venu,
terre lorraine
où les clochers des églises
sont les fanions de la foi,
terre rude,
que l’hiver rudoie,
terre dont l’or des mirabelles,
sous leur poids,
brise les branches des arbres,
au beau milieu de l’été.
où il faut revenir
pour entendre la petite musique
des siècles,
terre de labeur,
repliée sur elle-même,
qui ne se donne pas
au premier venu,
terre lorraine
où les clochers des églises
sont les fanions de la foi,
terre rude,
que l’hiver rudoie,
terre dont l’or des mirabelles,
sous leur poids,
brise les branches des arbres,
au beau milieu de l’été.
24/7/18
- Loup-de-lune aime ceci



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