Cette voix d’encre de Rimbaud, celle qui est la sienne dans les « Illuminations » et dans la « Saison en enfer», est reconnaissable entre mille : « Au bois, … il y a, enfin, lorsqu’on a faim ou soif, quelqu’un qui vous chasse».
Cette voix nous accompagne, au travers des années, elle résonne en nous, chaque fois que quelqu’un, d’une façon ou d’une autre, nous « chasse ». Car nous sommes « chassés » de mille façons, par la « faim », par la« soif », par le désamour.
Cette voix nous accompagne, au travers des années, elle résonne en nous, chaque fois que quelqu’un, d’une façon ou d’une autre, nous « chasse ». Car nous sommes « chassés » de mille façons, par la « faim », par la« soif », par le désamour.
29/7/18



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