Il faut, sans cesse, reconstruire les châteaux de sable de nos rêves, sans cesse assiégés par la réalité, – croire encore, jusqu’au soubresaut ultime, à ces matins dont parle Rimbaud :
« A quatre heures du matin, l’été,
le sommeil d’amour dure encore... »
« A quatre heures du matin, l’été,
le sommeil d’amour dure encore... »
26/9/18