Les mots nous échappent, je veux dire que cette douceur qui fut la leur, telle celle d’un jour d’été, s’efface lentement, laissant place à la pâleur livide des jours d’automne, annonciateurs de l’hiver, prolégomènes de toutes les absences, de l’affreux diadème des cœurs abandonnés.
16/1/18