Il y eut tellement de chemins, de routes, d'horizons, jusqu'à cette douceur dans mon âme, cette paix dans mon cœur, hier, aujourd'hui, demain : vous, encore et toujours vous, vous, ma rivière, ma vie rêvée, ma forêt, mon ciel d'été, mon sésame pour l'éternité.
Par la magie de votre présence, même lointaine, la nuit de décembre et les hauts murs de la solitude sont sans pouvoir. Vous donnez sens à mon écriture, vous éclairez ma vie par le moindre de vos rires, par le timbre de votre voix.
Il suffisait de "passer le pont" : j'ai beaucoup tardé, tu vois ?
Par la magie de votre présence, même lointaine, la nuit de décembre et les hauts murs de la solitude sont sans pouvoir. Vous donnez sens à mon écriture, vous éclairez ma vie par le moindre de vos rires, par le timbre de votre voix.
Il suffisait de "passer le pont" : j'ai beaucoup tardé, tu vois ?
7/12/20
"Le pont" (4/2/18). Tous droits réservés.
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