La moindre silence, le moindre désespoir disloque la journée, la fait basculer dans le trop-plein des choses, dans cet espace qui donne sa grisaille à la vie, ternit l’éclat du soleil, du ciel bleu, fait renaître la mélancolie des solitudes de l’enfance, des encoignures où me jetait la tristesse, quand chaque plaie me semblait celle dont je ne pourrais pas survivre.
Ton absence enlève la saveur de la vie, le goût ineffable du plaisir, brise le rire dont il ne reste qu’un souvenir, quand un tsunami de solitude s’empare de mon âme toute entière, bouleverse la douceur des heures, disloque le langage, fait vaciller la pure possibilité de vivre, tandis que ma vie tout entière réclame ta présence, ta douceur, dans le jour devenu interminable, le jour sans toi.
Ton absence enlève la saveur de la vie, le goût ineffable du plaisir, brise le rire dont il ne reste qu’un souvenir, quand un tsunami de solitude s’empare de mon âme toute entière, bouleverse la douceur des heures, disloque le langage, fait vaciller la pure possibilité de vivre, tandis que ma vie tout entière réclame ta présence, ta douceur, dans le jour devenu interminable, le jour sans toi.
9/10/ 2022