L’amour de toi
Si l’on savait combien il y a de désespérance, de larmes et de cris, derrière chaque poème, on ne le lirait plus de la même façon. Le fil de la plume est, pour certains auteurs, un fil de survie.
Rimbaud, un jour, pousse le cri de délivrance du « Bateau ivre »:
« Comme je descendais les fleuves impassibles
je ne me sentis plus guidé par les haleurs »
Tout commence avec cette libération. La véritable quête peut commencer.
Je me suis embarqué, moi aussi, sur « la petite barque de l’amour » dont parle Maïakowski.
Je navigue entre les récifs. Je n’ai pour phare, pour lumière que l’amour, l’amour de toi.
14/1/24
Si l’on savait combien il y a de désespérance, de larmes et de cris, derrière chaque poème, on ne le lirait plus de la même façon. Le fil de la plume est, pour certains auteurs, un fil de survie.
Rimbaud, un jour, pousse le cri de délivrance du « Bateau ivre »:
« Comme je descendais les fleuves impassibles
je ne me sentis plus guidé par les haleurs »
Tout commence avec cette libération. La véritable quête peut commencer.
Je me suis embarqué, moi aussi, sur « la petite barque de l’amour » dont parle Maïakowski.
Je navigue entre les récifs. Je n’ai pour phare, pour lumière que l’amour, l’amour de toi.
14/1/24
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