Emprisonne-t-on la lumière ?
Emprisonne-t-on la lumière ? Emprisonne-t-on le verbe « aimer » ? Les murs des prisons ne sont rien. Un mot d’amour peut sauver. Il n’a pas de matérialité. Il a toutes les matérialités. Il n’a pas de saveur. Il a toutes les saveurs.
Il a pour lui les premières lueurs de l’aube. Il ouvre les chemins. Il franchit tous les obstacles. C’est toujours la grande nouvelle. Il dispense la joie, sans le savoir, sans le vouloir. La plus belle des chansons n’a qu’un refrain : « je vous aime ».
Emprisonne-t-on la lumière ? Emprisonne-t-on le verbe « aimer » ? Les murs des prisons ne sont rien. Un mot d’amour peut sauver. Il n’a pas de matérialité. Il a toutes les matérialités. Il n’a pas de saveur. Il a toutes les saveurs.
Il a pour lui les premières lueurs de l’aube. Il ouvre les chemins. Il franchit tous les obstacles. C’est toujours la grande nouvelle. Il dispense la joie, sans le savoir, sans le vouloir. La plus belle des chansons n’a qu’un refrain : « je vous aime ».
25/1/24