Le printemps d’aimer
Ce qui me sauve, c’est le verbe « aimer ». Lorsque, tandis que tu es si loin, je le prononce, je l’écris, la nuit et le froid perdent de leur pouvoir, pour laisser place à un éternel printemps, le printemps d’aimer.
7/5/25
- M. de Saint-Michel aime ceci