Une à une, les gouttes
Sont tombées toutes
Au gout, sont amères
Le long des jours
Es, le trop plein
Es- on se plaint
Ou chagrins d’amour
Ces pleurs ont rempli le verre
Jusqu’à la rive
Qui mène à la dérive
Ou’ l’on se perd
Ces pleurs ont rempli le verre
On le prend
Et on ressent
Que rien ne peut, satisfaire
la séparation
Pour la dernière vue d’adieu
Tu restes là
Sur cet état
Comme prosterné à Dieu
Qui donne et enlève
Il était là
Il passe à l’au-delà
Le réel devient au rêve
Pour Adam comme pour Ève
Tu n’as que ces beaux vœux
Murmurés ici bas
Et ce constat
A la séparation tu ne peux