Modestes existences,
Tapies au fond de haies denses,
Des vies effarées palpitent.
Aux abords du ruisseau qui crépite,
S’ébruitent des froissements d’ailes.
Le vent diffuse les pépiements frêles
Qui animent ces îlots de verdure
De leurs impétueux murmures.
14.02.2016
- M. de Saint-Michel aime ceci