Tu es partie un soir,
Sous le soleil ardent
Du Midi flamboyant,
Consumant tout espoir.
L'automne balbutiait
De timides couleurs,
Une étrange torpeur
Discréditait l'été.
Et malgré les douleurs,
Les aigreurs entassées,
Morsures du passé,
Coule cette langueur,
Incurable poison,
Sur mon cœur éprouvé
Par un souffle mauvais,
Silence et abandon...
Dans la triste maison,
Théâtre de ta vie,
Plus un son, plus un cri,
Mais le même horizon.
Dans le vide obstiné,
Résonnent les échos
De rires, de chaos
D'impalpables années.
La ronde des regrets,
Se teinte de remords,
De pardons, de trésors,
De peurs et de secrets.
Tu es partie un soir,
Émiettant les débris
De mon enfance enfuie,
Souvenirs illusoires.
(En souvenir du 25 septembre 2025)
Sous le soleil ardent
Du Midi flamboyant,
Consumant tout espoir.
L'automne balbutiait
De timides couleurs,
Une étrange torpeur
Discréditait l'été.
Et malgré les douleurs,
Les aigreurs entassées,
Morsures du passé,
Coule cette langueur,
Incurable poison,
Sur mon cœur éprouvé
Par un souffle mauvais,
Silence et abandon...
Dans la triste maison,
Théâtre de ta vie,
Plus un son, plus un cri,
Mais le même horizon.
Dans le vide obstiné,
Résonnent les échos
De rires, de chaos
D'impalpables années.
La ronde des regrets,
Se teinte de remords,
De pardons, de trésors,
De peurs et de secrets.
Tu es partie un soir,
Émiettant les débris
De mon enfance enfuie,
Souvenirs illusoires.
(En souvenir du 25 septembre 2025)
- M. de Saint-Michel et Laurence HERAULT aiment ceci
Un départ qui remue tant de choses, si délicatement exprimées...