Bel qui tient mon coeur
captif dans vos mains
qui malgrè ses pleurs
le presse, l'étreint
Oyez sa douleur
qui languit d'amour
avec tant d'ardeur
depuis de longs jours
si vous le gardez
en votre prison
brisé,esseulé
le laissant périr
sans joie,sans passion
lui faudra mourir.
captif dans vos mains
qui malgrè ses pleurs
le presse, l'étreint
Oyez sa douleur
qui languit d'amour
avec tant d'ardeur
depuis de longs jours
si vous le gardez
en votre prison
brisé,esseulé
le laissant périr
sans joie,sans passion
lui faudra mourir.