Une maison d'autrefois distance le village
aucun humain d'évidence n'y loge plus
aux brisures de ses carreaux patiente une encre parfaite
et mes pensées souvent en franchissent la porte
des chevaux sur l'appui de la fenêtre
des chevaux dans le branchage de la treille
une herbe triste et dure a fixé leurs sabots
et mon fantôme d'enfant selon la saison
selon le poème et l'espièglerie des pupilles
leur inspire un galop de grand vent
une neige cavalière
ou la robe de sud qui dissout le harnais
aucun humain d'évidence n'y loge plus
aux brisures de ses carreaux patiente une encre parfaite
et mes pensées souvent en franchissent la porte
des chevaux sur l'appui de la fenêtre
des chevaux dans le branchage de la treille
une herbe triste et dure a fixé leurs sabots
et mon fantôme d'enfant selon la saison
selon le poème et l'espièglerie des pupilles
leur inspire un galop de grand vent
une neige cavalière
ou la robe de sud qui dissout le harnais
- hasia, Esterina, M. de Saint-Michel et 2 autres aiment ceci
Des chevaux tellement bien inspirés qui déjà, nous font rêver...
"de grand vent", "de neige cavalière" et "de robe du sud qui dissout le harnais"!
Instances et instants de liberté inouïe,
havres de paix intériorisés...
Espiègle...
Vous m'avez bien fait rêver!
Belle journée...
hasia