
Les Mondes perdus : à la recherche de Mademoiselle Lin I - Heracleion
Posté par Loup-de-lune,
08 mai 2016
·
637 visite(s)
Comme un grand fanal d'art le port sombré m'oriente
s'est achevé là-haut le pesant de ma discordante chair
et la mer me dévale dans ses aubes virides
qui ravivent l'imminence de ta silhouette
de la pierre ouvragée jusqu'à l'image d'un dieu
croît un regard où s'ovalisent les millénaires
ma couleur y vient lente et pure comme la patience à la patience
d'une telle destination mille bateaux immobiles
le féerique capharnaüm du bestiaire des proues
mon amour y dissipe toute fièvre naufrageuse
et la rue noyée qui n'a plus de nom sera pour ton pas retournant
s'est achevé là-haut le pesant de ma discordante chair
et la mer me dévale dans ses aubes virides
qui ravivent l'imminence de ta silhouette
de la pierre ouvragée jusqu'à l'image d'un dieu
croît un regard où s'ovalisent les millénaires
ma couleur y vient lente et pure comme la patience à la patience
d'une telle destination mille bateaux immobiles
le féerique capharnaüm du bestiaire des proues
mon amour y dissipe toute fièvre naufrageuse
et la rue noyée qui n'a plus de nom sera pour ton pas retournant
- hasia, Esterina, M. de Saint-Michel et 2 autres aiment ceci