
Les Mondes perdus : à la recherche de Mademoiselle Lin VI - Le Conestoga
Posté par Loup-de-lune,
29 juin 2016
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Les radians de mon deuil se démesurent dans la mer
j'y respire par les mots qui découvrent les épaves
et les aiment assez pour dire leur beauté neuve
la bouquetière du temps qui les apothéose
de la prairiale quille et des passiflores du beaupré
de la trace vocalique où va germinant un nom
s'exhale l'esprit du voyage
d'amples inconnus comme l'épiphanie des voiles
des carnations fulgorées comme un équipage à l'improvisé
et cette intègre ardeur à seule fin de lever l'ancre
le silence serti du poème qui pointe ton atoll
j'y respire par les mots qui découvrent les épaves
et les aiment assez pour dire leur beauté neuve
la bouquetière du temps qui les apothéose
de la prairiale quille et des passiflores du beaupré
de la trace vocalique où va germinant un nom
s'exhale l'esprit du voyage
d'amples inconnus comme l'épiphanie des voiles
des carnations fulgorées comme un équipage à l'improvisé
et cette intègre ardeur à seule fin de lever l'ancre
le silence serti du poème qui pointe ton atoll
- M. de Saint-Michel, bɔētiane et En hoir de Loup-de-lune aiment ceci