dédaléennes
les ruelles
m'auraient vaguée à l'égard d'un bateau
son aussière
si pesamment nattée des absences du large
les échos d'or et de cochenille
dans le désormais de son inaudible nom
le viride de sa coque tailladée
saigne un gravier fauve
dont seul un vrombissant horizon de mégalopole
sait exténuer la ligne flexueuse
de sa grand-voile
une part pétrée fossilise le vent
tandis que le demeurant de toile
drape le bouffon du temps
obliquant
son beaupré va rayant
les barreaux noirs de la grille en chantier
aux mains boucanées des hommes bleus
écoulements
ruissellements d'étincelles
et de navrements
sur le trottoir du passant myriadaire
tombe et s'éteint et se renouvelle
et tombe jusqu'à la moindre étoile
cosmopolite consoeur des nuits traversantes
- Esterina, M. de Saint-Michel, pigloo et 1 autre aiment ceci
votre regard a de ses passages à tomber étincelle parterre dans l'eau....!
il semble qu"il y ait plusieurs substrats + le(s) mouvement(s)
= votre regard possède la partie ou les parties ( angles de vues) et le tout ( tout le décor / ambiance en simultané )
le résultat est étonnant et révèle combien beau votre (façon de) regard(er)....