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Danseurs d'améthyste / par Loup-de-lune & Clémouchka

Posté par Loup-de-lune, 06 août 2021 · 1 306 visite(s)

Un être dansait au loin, funambule sur un linéament d'horizon de la Terre des Hommes, à distance précautionneuse de l'otalgie des cités et de leurs presses. Il était seul d'abord... ou il était le premier. Puis un autre être l'a vu qui dansait. Il s'est approché comme on apprend parfois à aimer des arcanes. Peu à peu il fut donné à sa persévérance de découvreur d'entendre la musique qui faisait danser l'autre à l'orée des galaxies, et l'étrangeté s'est muée en harmonie, la défiance en attrait, le brin de peur en ferment de communion...

Alors Clémouchka a joint Loup-de-lune, et il a commencé à danser lui aussi.

Clémouchka danse avec Loup-de-lune.

Loup-de-lune danse avec Clémouchka.

Ô d'améthyste eurythmiques danseurs...



'Celui qui danse n'a pas pour objet de marcher. Les jambes servent à autre chose qu'à franchir et à atteindre - et les mots à autre chose qu'à se renseigner ou à enseigner. '

Paul Valéry



☯ Le texte de Clémouchka/Clément Velluet, répondant à celui de Loup-de-lune/LIU Bizheng, apparaît chaque fois entre deux signes du Tao, le cercle où s'inscrivent Yin et Yang, symboles de la pure complétude et de la rencontre de deux êtres portée jusqu'à la symbiose orchestique ☯




Deux femmes et deux hommes




Sur la jointure délinéée d'une terre et d'un ciel

☯ Ou d'un coeur de clystères des ensembles bleus géométraux ☯


ce que pèse le mûrissement de l'étoile
cette ardeur d'épilogue funambule

☯ Ou des chastetés liquides par projections d'une étoile jaune, d'or.
Agricultures des chaos funambulesques où dansent les pétales d'yeux de Loup-de-lune apparaissant, des transformations d'os indiens ☯


et lilialement la main de diligence va déliant
afin que la nacelle au mouvement soit dédiée

☯ Puits mentaux des mains d'adieux des transferts où Loup-de-lune physique ses corps chastes comme des papillons d'étoiles où la poétesse danse des pétales circonflexes ☯


qu'elle fut l'adolescente surrégleuse du mystère

☯ Poétesse aux mystères biologiques immanents, des temporalités mentales ☯


en témoigne le diadème

☯ Les diadèmes ontogénétiques génuflexions des cous, aux statues nénuphars blancs ☯


qu'elle soulève de la porcelaine du front

☯ Verticalités des mains biologiques par absences, des cieux fronts géologiques, les brasiers des transparences, porcelaines des exhalaisons mystiques, par hyperboles ☯


et qui délivre la cascatelle de jais

☯ Les ciboires dé-jetés d'oublis consubstantiels, perfusés de cheveux abstraits, jais des incontinences, des miroirs intérieurs, prosodies des pensées à cascades soleils solitaires, des littératures atomistes ☯


le ponant s'enamoure
dans la psyché des fulgurances minérales

☯ Flagellations des abeilles aux flots matriciels, des digressions mentales à jaillissements, des pierres psychologiques, aux altérités des souvenirs de cordes aux immanences, des doigts projectifs acoustiques, ô Poétesse des pâmoisons belliqueuses des genoux idéels, des influx idéologiques parfums d'oiseaux, aux intégrations des minérales, aux danses d'ongles bleus ☯


mais dans l'ubiquiste éteignement qui flue
il goutte

☯ Flûtes des hybridités de jets intemporels, aux fusions déliquescentes, des oublis à gouttes réfléchis des idiomes paraplégiques d'yeux mémoriels violons biologiques, par hypostases des raisins cicatriciels ☯


tandis que le reliquat lapide

☯ Les doigts de bateaux généalogies des mensonges, Dieux évanescents, ô sables punitifs des transferts contingences Socratiques, des vierges statues mariages des soleils, sans réflexivités cécités ☯


l'insurrection sparsile des berges

☯ Plasticités d'étoiles inorganiques des berges lavandes pyramides, les ossements esseulés d'analyses mantras à géodésies, des transparences, berges informatiques des trouées ophtalmologues citrons, des verges amoureuses ☯


jusqu'à convaincre de cris

☯ Friches des cris verticaux et mygales solaires, des cils à accouchements vaisselles itératives, des besoins ☯


et de cruors les carreaux de rocou

☯ Colorations des alcôves symplectiques, des odeurs de sangs acajou pensées singes déguisés, des semences d'oiseaux perméables, d'abstractions, des chrysanthèmes ☯



Cette gracilité d'un corps sonore
à la charybde du sombre inclinée tellement

☯ Onguents des transperçantes, de chats hypothétiques de querelles de monstres marins mythologiques, des effusions de miroirs, inconscients temporels ☯


et quel numineux

☯ Présences lumineuses sans hyperboles, des besoins abstraits temporels génétiques du vide, miroir, extractions verbales, des mains christiques, des aliénations jauges, hypostases ☯


sinon cette translation de mes dépures

☯ Des déchets hypothétiques, délinéaments des imagos à cathartiques friches, de substitutions comestibles aliénistes, vecteurs créatrices blondes enfantements, des jeunesses d'ivoires ☯


pour traduire en lexies

☯ Lexicités des peaux cataractes, "des ômes" nuages, bénédictions mentales ☯


ce canotage des silences

☯ Ce désir des « stalactistes » propédeutiques, des mourirs virides écritures inaliénables ☯


entre la créature qui se taisait et la réticence du lémure

☯ Spectres des Oasis « hyphigénétiques » par "séquescences" des grimoires chapelets téléguidés, des chapelles Dieux prénatals, frondaisons du vivant linguistiques, hantant les dehors invertis ☯



Un rêve d'île amarra l'améthyste sous l'arche

☯ Archanges d'archets sous des dehors de complétudes à cristaux finitudes, pensées ornithorynques ☯



Ces turpitudes et ces entailles de mêlé-casse
leur durée a donc un pont de crépuscule

☯ Maïeutiques des devenirs gorgés, de sels radioactifs ☯


mais tout en bas
plus que l'élixir des poumons prestidigitatrice

☯ Oiseaux des clavecins déterministes, ou coulent des sidas symplectiques, des aliénations de sycomores Jésus tensoriels, temporels ☯


une scintillation qui va muant la chute en agenouillement

☯ Désirs d'orthographies, des cordes silencieuses ☯


sur la chance de la paume

☯ Sur les cicatrices des paumes hégémoniques, par contusions des synapses alimentaires, chats dividendes, altérités en devenirs des raisins itératifs, des contraires ☯


les nuances violines énumèrent les anges effus

☯ Alacrités des génotypes immondes, des ordinateurs doigts des penseurs génétiques, par cécités d'abstinences, des menteurs effusions cartilages, des verbes baisers ☯


l'orfèvre-joaillier qu'elle missionna
la regarde être ravie
de venelle en galerie
précieuse et cycnéenne glisser

☯ Distorsions des alcaloïdes par hémistiches mentaux, des « cycnéennes » des à-cycles des vagissements télépathes, des glissements « hémorémentales, » par clystères des yeux verticaux, transparents ☯


à chacun des passements
de plus en plus ovés
qui la tiennent désormais pour affine
la ville retrempe l'escamotage

☯ Centrifuges d'homéostat temporel par besoins des zététiques parchemins trompés des bateaux de voyelles Dieux ☯


au sein de la transparence
danseuse de confin
à la façon d'un lance-pierre
la prometteresse fait tournoyer la chaîne

☯ Hybridités des chaotismes, des boulets acharnés des pieux d'arc-en-ciels écrasés de lèvres Rires, des oligoéléments à fontaines des chevilles plasti-sociologiques, des oraisons à bulles rythmiques, des silences de chaînes perméables, diffuses, de gueux soleils prisonniers, de jeux « métylocorporels, » DIEUX ! ☯



Un tyranneau bleu dérivait sur le fleuve écarquillé

☯ Offrandes punitives des silences élastiques, les yeux liquides d'abandons inertiels ☯


une lampée lie-de-vin

☯ Thermostat des ondes ridicules, les fenêtres d'algues noires, bleues, génocides orgueils ☯


était sertie dans sa glabelle

☯ Ossements des divergences semences, des sables énergétiques, physiques ☯


imprécisée toujours
par les mirances aurorales de la palinodie

☯ Gestations des creusets d'abstractions, dé-complexions savons tuberculeux, des « liniles » sacerdotales, syntaxes des jeux confusions origamis, des péchés hiboux les jets, de voilures cérébrales. ☯



Nouvel hommage à Loup-de-lune



« Si tu chantes la beauté,
même dans la solitude du désert,
tu trouveras une oreille attentive . . . . . . . .

K. Gibran



Chant symphonique

Métamorphoses d’un corps symplectique, crachées d’inaliénations centrifuges, matricielles.

Des pétales informatiques les immanences fortuites, d’asymptotes diamants des contraires, les doigts chimériques, musiciens.

Des transsubstantiations déterministes.

Des offrandes à genoux fantasmées, des complexions de végétations, les yeux intemporels.

Idéations génétiques ou flagellent des homéostasies, des hasards génétiques.

Synapses des cécités de vacuités ou des lessives d’ors, des araignées linguistiques, les dramaturgies schizophréniques, des électriques imagos à ossements, des voyelles à cétacés d’anges, radioactifs.

Nucléosynthèses des enfantements telluriques d’incontinences, d’ongles esseulés.

Les miroirs des cénobites infrastructures, des géométriques sociologies, des corporéités psychanalyses à inflorescences, des pyramidales géostationnaires, les degrés hystériques, des chevelures psychologiques.

Danse les hybridations plastiques, des anthropologies subséquentes, des complexions invisibles.

Chrysalides perclus, performatives, des homogénéités germées de silences déontologiques, les brasiers des pachydermes neurologiques.

Naturalistes altérités, des microcosmes eugénistes. Botanistes des constructions littérales.

Découverts des stigmates d’alcôves identitaires, ou ruisselaient des érubescences cognitives.

Discriminants chosifiés les dramaturgies inesthétiques, des nénuphars religieux.

Voyelles administratives des transports fantasmés, des chairs inorganiques, des chaos maïeutiques, les diapasons immatériels.

Identifications des cordes hypostasiées, des violets suicides implémentés, des Dasein machinistes, par-delà les désirs des astres poétiques épileptiques, des sotériologies alimentaires, les pardons neurologiques, des fragrances transmissions, des horreurs agricoles, des fractales chapelets à ipséités, des semences lacrymales, les subductions intuitives, les extériorités, des mains biologiques.

Les peintures d’éléphants figés d’anatomiques orgueils éclatés, de statues réflexologies les abeilles prostituées, des cataractes à sourires vierges, des captations intégrales, les planètes génocidaires, des hosties comparatives, ô planètes sémantiques des Arts constellés, des littératures incarnées d’aurores à puits des chastetés télé-structurelles, les vapeurs des rêves géographiques, ou des azurs de torches tremblent, frémissent, des odeurs implémentées, les rires à zéphyrs, ô liquides associatifs, des catalyses transfinies, ô infinis Socratiques, ô comportementalismes, des arbres à peaux de pubescences synaptiques, ou hurlent les souffles extrasensoriels, ou des épures sensualistes, drainent des animaux polyglottes, ô polythéismes des souvenirs à fontaines, des acryliques grappes temporelles, ou brûlent les silences d’écritures défragmentées d’existentialismes abstraits, ô églises des artefacts ou s’exhalent, les pores graphiques, des cyclicités théologiques.

La poétique de Loup-de-lune est miraculeuse. Elle révèle une poétesse aux thermostats complexés d’idéations mentales, aux corporéités, aux soubassements télépathes, des offrandes littéraires, des diamants larvés de déterminismes ontologiques, ou s’exponentialisent, des partages bénis, des génétiques du miroir vidé, de symphonicité, d’hyperboles consanguines ou s’épurent, se hasardent, des dyscalculies amoureuses, des centrifuges naturalistes baignées, enveloppées, tissées de nourritures, à cascades des symétriques récognitions, des douleurs numériques, ou des vapeurs oniriques, théâtrales, cosmiques, intègrent des soupçons d’araignées cryptologiques, des enfantements dialectiques, des félicités d’une langue, d’un style aux brasiers préhensiles d’horticultures, des transparences infinies.

Pâmoisons de harpes endocrines, des cétacés du miroir asymptotiques, des crânes fétichistes ou quintessences, des lueurs sémantiques, les révélations perfusées, des imagos compassionnels, les élasticités mélancoliques, d’un style aux ipséités métaorganiques, métabiologies des corporéités stigmates des sangs voilés, d’aveuglements plastiques, des théologiques d’osmotiques comparaisons schizophréniques, ou dansent les sourires d’un corps, d’une identité aux ossements intuitionnismes, Loup-de-lune aux Charmes révélateurs, d’un dédoublement inorganique, flagellé, des spectres filamenteux, des farines emprisonnées d’aurores linguistiques, prodigieux, car Loup-de-lune et ses idiosyncrasies artistiques, transvase, transvalue des hybridités, des chaos hyperboliques, là des décomplexions d’un parfum aux cerveaux « téléplastiques, » des nucléaires tridimensionnalités, des éveils d’un pneumatisme hermaphrodisme, les cigales différentielles, des kystes oubliés, des silences cosmétiques ou brillent, épousent, des oiseaux à violoncelles cubiques, des syntagmes réfléchissements, les algues contiguës, des sirènes ontologiques, Loup-de-lune, est une personne métaphysique, surnaturelle, et des figements de papillons inorganiques, métaboliques, in-structurelles, vibrisses des herméneutiques diététiques, des parchemins inconscients ? radioactifs… .

Merci Loup-de-lune d’avoir illuminé la poétique de tes feux transcendantaux…

Je te salue poétiquement et nous nous retrouverons dans d’autres cieux… !

Clément Velluet

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