putain que c'est mou les roucoulements
les bonjours bonsoirs les civilités mais il en faut
je suis heureux, la flamme olympique a été secoué
c'est vrai, ils sont chiants les révolutionnaires mais il en faut
on va pas se laisser de trop absorber par le consensus
prenez garde on y trempe facilement
retour à la terre
aux racines
à la poesie des illettrés
jardiniers
à l'esprit corse
à la pétanque
et au pastis
à la récréation
publié aprés six pastis dans le nez
Débuté par l'ixe, avril 07 2008 11:24
2 réponses à ce sujet
#1
Posté 07 avril 2008 - 11:24
#2
Posté 07 avril 2008 - 11:29
ha ouais magnifique la vidéo. j'y aurais été si j'avais su quil y avait la flamme olympique. Ciao.
#3
Posté 08 avril 2008 - 12:54
les stones jouent à la radio et je viens d'avoir mon pote d'istanbul sur msn. J'en suis maintenant à dix verres et tout va bien. Encore à se payer quatre ans du petit Nicolas mais bon, il est finalement invisible et puis je m'en contrefous.
Mes artères tiennent le coup, mon coeur est nickel, je mange , je bois , je fume et j'ai de bons potes.
Je crèverais plutôt que prévu, j'aurais vécu, fait l'amour, entretenu des relations et plongé en délicate poésie. Au ciné, je cultive le navet, en littérature je m'ennivre de Bukowsky. Les ronsard et compagnie me saoulent, seul Rimbaud tient la route. Il a toujours vingt ans, restera mon icône avec son bateau.
La tablature déroule une musique hard-core, puis une bluette, puis un slow!
Je m'engourdis, je me ressaisis, je me relève, file au bar
j'ai besoin d'alcool
j'en crève de ces décennies
trop calme
il va falloir broyer, se révolter, crier. Non Non Non au despotisme libéraliste
Mes artères tiennent le coup, mon coeur est nickel, je mange , je bois , je fume et j'ai de bons potes.
Je crèverais plutôt que prévu, j'aurais vécu, fait l'amour, entretenu des relations et plongé en délicate poésie. Au ciné, je cultive le navet, en littérature je m'ennivre de Bukowsky. Les ronsard et compagnie me saoulent, seul Rimbaud tient la route. Il a toujours vingt ans, restera mon icône avec son bateau.
La tablature déroule une musique hard-core, puis une bluette, puis un slow!
Je m'engourdis, je me ressaisis, je me relève, file au bar
j'ai besoin d'alcool
j'en crève de ces décennies
trop calme
il va falloir broyer, se révolter, crier. Non Non Non au despotisme libéraliste