Sur la route...histoire sans fin III
#1
Posté 19 avril 2008 - 11:26
Et la poésie est éphémère
Comme ces toiles de Christo
Andy Goldsworthy et ses sculptures à terre
Et tout s'enfuit au long de l'eau...
#2
Posté 19 avril 2008 - 11:57
Sur la route...histoire sans fin
Et la poésie est éphémère
Comme ces toiles de Christo
Andy Goldsworthy et ses sculptures à terre
Et tout s'enfuit au long de l'eau...
La poésie n'est pas un long fleuve tranquille...mais le fleuve coule toujours, si je ne m'abuse...il coule sans fin...le fleuve est "nourri" par tous ses affluents...et l'affluent "Licorne Blanche" se jette avec volupté dans ses eaux parfois tumultueuses...
Bienà toi...
#3
Posté 20 avril 2008 - 03:32
tendus comme une toile,
et
De la nature à plat ou empilée,
Le regard est là qui tient l'éphémère...
#4
Posté 21 avril 2008 - 10:22
Et ta poésie coule en un étrange et bel affluent...dans quel fleuve se jette-t-il?...mystère...La poésie n'est pas un long fleuve tranquille...mais le fleuve coule toujours, si je ne m'abuse...il coule sans fin...le fleuve est "nourri" par tous ses affluents...et l'affluent "Licorne Blanche" se jette avec volupté dans ses eaux parfois tumultueuses...
Bienà toi...
L'affluent "Charly Java" distille sa délicatesse et son délicieux humour...coule-t-il ses veines dans un fleuve de calme beauté enchantée?...
Le fleuve coule encore...espérons-le sans fin...
La volupté nourricière de ses eaux parfois tumultueuses, le sang qui bat dans les veines des mots...au bruit des tempes humides...et des mots qui suintent les eaux du fleuve...
Merci Charly Java pour ta poésie...qui éclaire ce poème...
Bien à toi
J'aime tes mots...un magnifique cadeau que les tiens...merci...très touchée...Des iles et des ponts,
tendus comme une toile,
et
De la nature à plat ou empilée,
Le regard est là qui tient l'éphémère...
Et nous sommes îles, nous sommes ponts, et les routes nous traversent, les bateaux nous accostent, le regard suspendu au-dessus du vide, à vivre nos pleins...tendus comme une toile au coeur de nos vibrations...
J'aime, ô combien:
"Le regard est là qui tient l'éphémère..."
Magnifique...
Merci infiniment, lio, pour ce poème, délicat prolongement à cet autre poème, Christo et Goldworthy...