Auteur Message Ermite
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Le 18 Juil 21:10
Aussi seule, souvent comme la nuit, au silencePeignant les voûtes et les charmilles lointaines,
À l'unique monarchie des créatures mondaines,
Elle se rendait pour rallonger sa concupiscence.
Aussi belle que les lueurs dans toute la plaisance
Qui embellissait l'errance, le manoir et la reine,
Elle défaisait sa fronce et la nuit, toute hautaine
Pour mener son envie à l'empire des brillances.
Douce devant toute sa solitude comme la nuit,
Elle régnait aussi longtemps sur toute l'envie
Qu'elle raccompagnait au repos des songes,
Puis elle s'endormait dans ses derniers efforts,
Avec l'empire qu'elle en avait à ses longes,
Pour accompagner son rêve très loin encore.
hamid khenat
