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..L'amour se reflétait, sur ton beau visage,
Pour autant ta beauté. Par l’appel de ton âme,
Au terme de tes désirs, si passionnés
Qu’en intrigues amoureuses tu grandissais.
Et je contemplais d’en haut de tes tourments.
Dans lesquels mes yeux ont regardé fixement
À une telle hauteur, et je dis : alors digne de ce tel honneur
Mon futur vague, arrivant vivant dans votre esprit.
Je vous entrevois ici la pensée si affectueuse,
Au haut degré de l’amour, pendant vos réveils amoureux,
S’acharnant contre moi, comme tout le désir des hommes :
D’elle cet esprit, vient de l’amour,
Enfin dans l'espoir, je vole, déjà, dans votre coeur.
Une porte, s’ouvre, où je m’y engouffre avec passions.
Pour autant ta beauté .Par l’appel de ton âme
Débuté par bernardo, mars 05 2007 12:33
6 réponses à ce sujet
#1
Posté 05 mars 2007 - 12:33
#2
Posté 05 mars 2007 - 08:12
Vous m'avez manqué atrocement. Avez-vous beaucoup souffert depuis la derniere fois?
#3
Posté 06 mars 2007 - 09:40
Bernardo! çà c'est de la poésie!
#4
Posté 16 mars 2007 - 07:12
Je ne suis pas prisonnier de ma raison.
#5
Posté 16 mars 2007 - 08:11
Là, Près du lit maternel, sous un beau rayon rose, Là, sur le grand tapis, resplendit quelque chose.
#6
Posté 16 mars 2007 - 08:15
Mais je ne beurre pas ma chevelure.
#7
Posté 30 novembre 2009 - 06:54
Une porte(,) souvre, (où) je m(y) engouffre avec passion(s).
permettez ?
une porte s'ouvre
où je m'engouffre
(je m'y engouffre)
avec passion(s ?)