Je respire. Je sens le parfum frais du bonheur
Et, il n'est plus de soir où nous ne parvenions
À courir éperdus en ces champs de fleurs,
Ces bois touffus sauvages qui bordent notre union.
j'attends le mois de mai douillet et délicat,
Encor pour nous de baisers prometteur,
Entremêlé d'effluves de roses et de gardénias
Augures colorés de nos plus grandes ardeurs
Ce bonheur éperdu qui s'en va et s'en vient
Tombent feuilles des ramures! naissent bourgeons!
Trépassent les froidures, le feu est éteint!
Toc toc mon coeur-azur! adieu blanc hiver bougon!

Parfum et effluves
Débuté par 4U2, avril 18 2007 10:18
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