40 réponses à ce sujet

[J.G. Mads]

Sur la « liberté laissée ou pas au lecteur »



Qu'est-ce que « la liberté » laissée au lecteur ? D'interpréter le poème ? Mais quelle espèce de poète pourrait obliger son lecteur à ramper ?



Les lecteurs ignorants, comme les savants, colmateront toujours l'implicite avec le si peu qu'ils savent. On découvre de l'inconnu à condition de savoir où l'on va. Celui qui se laisse aller ignore l'inconnu. Quelle que soit l'heure atomique, chacun voit midi à sa porte.



L'indéfini a bon dos. Le malentendu c'est la règle, c'est ok, mais cette règle est vacuité, violence. Amour du néant.



Moi, lecteur, je comprends ce que je veux ou peux et tout est bien ? Non !

[darkpixel]

Garde les trois et appelle ça "Variations", après tout la teneur diffère un peu à chaque fois et chacun y verra ce qu'il emmène avec lui mais sous ton éclairage...

[Lé Clone]

Ecrire est une nécessité personnelle.

Cela ne signifie pas que l'écriture est exclusivement personnelle.

Il y a quelque chose de présomptueux dans l'idée du premier jet, comme il y a quelque chose d'insultant dans l'idée de me comparer à un élève.

N'étant pas excessivement chrétien, je ne demanderai pas de pardon.

[...]

Si je peux me permettre, c'est ton commentaire qui manque de "je", parce qu'il ne prend pas suffisamment en compte mon "je" : j'ai posté suffisamment de poèmes et de commentaires ici, j'ai montré suffisamment de moi que pour être perçu comme un individu à part entière, un individu entier.

[...]

J'ai écouté ces coups de griffes. Et j'ai répondu en temps réel.

Que j'accepte ou sois d'accord avec certains sur certains points ne signifie pas que je sois un être esclave, sans spontanéité, sans "je". Ca signifie que j'accepte la rencontre avec un autre qui me parle et que je suis prêt à essayer plusieurs places jusqu'à ce que je me sente chez moi.

C'est loin d'être débile.

Je suis un humain. Pas un clone. J'ai une histoire.

Non, tu n'es pas un débile. Oui, tu es un humain avec une histoire, un être à part entière, comme nous tous. Pas une seconde j'ai dit ou pensé le contraire. Franchement, sur l'échelle humaine je, tu, nous, n'en sommes plus là. Du moins, j'espère. Il n'y a aucune insulte, aucun pardon à demander ou à accorder et je ne te compare absolument pas à un élève. Ce serait plutôt le contraire qui est clairement signifié : " mais tu ne soumets pas ton texte au lecteur comme un " devoir " à réussir. ". Sur le reste, je comprends ta position, ton explication, mais je me garderai bien d'un quelconque autre commentaire afin de ne pas m'embourber dans d'autres interprétations, incompréhensions. Merci.



.

[Paname]

que tu parles bien Abraham !!!

des fois
comme ici
mais pas avec tout le monde

[Abraham]

des fois
comme ici
mais pas avec tout le monde

Sois joliE, paname, et j'te parlerai différemment.

Non, tu n'es pas un débile. Oui, tu es un humain avec une histoire, un être à part entière, comme nous tous. Pas une seconde j'ai dit ou pensé le contraire. Franchement, sur l'échelle humaine je, tu, nous, n'en sommes plus là. Du moins, j'espère. Il n'y a aucune insulte, aucun pardon à demander ou à accorder et je ne te compare absolument pas à un élève. Ce serait plutôt le contraire qui est clairement signifié : " mais tu ne soumets pas ton texte au lecteur comme un " devoir " à réussir. ". Sur le reste, je comprends ta position, ton explication, mais je me garderai bien d'un quelconque autre commentaire afin de ne pas m'embourber dans d'autres interprétations, incompréhensions. Merci.



.

Un autre, un autre, un autre.

[Shedim]

Sois joliE, paname, et j'te parlerai différemment.



Un autre, un autre, un autre.

J'ai compté 4 ou 5 clichés dans ce texte.
Beaucoup pour un texte aussi court.
Enfin pour ici c'est bien

[Abraham]

J'ai compté 4 ou 5 clichés dans ce texte.
Beaucoup pour un texte aussi court.
Enfin pour ici c'est bien

Tu peux les énumérer. Ou tu es trop bien pour ici ?

En tout cas, j'attends ta réponse avec impatience.

[Shedim]

Tu peux les énumérer. Ou tu es trop bien pour ici ?

En tout cas, j'attends ta réponse avec impatience.

Je suis trop bien pour ici mais le nom du site m'inspire!
Je l'admets, je suis une grosse merde de venir écraser de la mouche ici.
Ca fait partie de l'écosystème mais j'ai honte.

BOUCHE TOI LES OREILLES:

TOUTE LA POEEEEEESIE QUE J'AIMMMMMMMMEUUUU
ELLE VIENT DE LA ELLE VIENT DU BLUUUUUUUUUES

Relis ton texte tu trouveras en tout cas 3 clichés. Je vais pas t'imposer mon point de vue.
Si tu n'en vois pas, il n'y en a pas.

Pour ce site:
1.Un éditorialiste.
2.Virer le 9 dixième des gens et introduire la présence de 3 ou 4 critiques qui ne seraient pas là pour draguer/complimenter mais pour couper en lamelle le tiède omniprésent sur ce site.
3. Que les "artistes" acceptent une critique sans insulter ensuite (Ce que tu arrives à faire)
Remise en question n'est pas soumission.
4. Pas plus d'un poème par mois.
5. Plus de poème sur les chagrins d'amour(on s'en tape de vos déboires)
6. Un dictateur éclairé pour fixer des règles absurdes et des contraintes violentes. On ne se libère pas sans emprisonnement.
7. La possibilité d'associer une chanson à un texte pour le critiquer. e.g un mp3 de Céline Dion pour
illustrer un texte genre chagrin d'amour ou alors....
JE T'aaaaaaiiiiiiiiiiimeeeeeeee
Je t'aimmmmmmmmmeeeeeeeuuuuuuuu
comme un fou comme un roi!!!!

8. Ne pas tenter de cacher ses limites (Ca se voit encore plus)

[Abraham]

Je suis trop bien pour ici mais le nom du site m'inspire!
Je l'admets, je suis une grosse merde de venir écraser de la mouche ici.
Ca fait partie de l'écosystème mais j'ai honte.

BOUCHE TOI LES OREILLES:

TOUTE LA POEEEEEESIE QUE J'AIMMMMMMMMEUUUU
ELLE VIENT DE LA ELLE VIENT DU BLUUUUUUUUUES

Relis ton texte tu trouveras en tout cas 3 clichés. Je vais pas t'imposer mon point de vue.
Si tu n'en vois pas, il n'y en a pas.

Pour ce site:
1.Un éditorialiste.
2.Virer le 9 dixième des gens et introduire la présence de 3 ou 4 critiques qui ne seraient pas là pour draguer/complimenter mais pour couper en lamelle le tiède omniprésent sur ce site.
3. Que les "artistes" acceptent une critique sans insulter ensuite (Ce que tu arrives à faire)
Remise en question n'est pas soumission.
4. Pas plus d'un poème par mois.
5. Plus de poème sur les chagrins d'amour(on s'en tape de vos déboires)
6. Un dictateur éclairé pour fixer des règles absurdes et des contraintes violentes. On ne se libère pas sans emprisonnement.
7. La possibilité d'associer une chanson à un texte pour le critiquer. e.g un mp3 de Céline Dion pour
illustrer un texte genre chagrin d'amour ou alors....
JE T'aaaaaaiiiiiiiiiiimeeeeeeee
Je t'aimmmmmmmmmeeeeeeeuuuuuuuu
comme un fou comme un roi!!!!

8. Ne pas tenter de cacher ses limites (Ca se voit encore plus)

En gros, tu refuses de discuter et de faire des rencontres sous prétexte que quelque chose (la poésie, l'art) serait supérieur au reste (les gens et Johnny).

Je pensais, justement, qu'en ne me limitant pas à ton ton condescendant et agressif qui se veut sûrement drôle, j'aurais le droit à un peu de ta fulgurance. Je me suis trompé.

Même si, pour ce texte, je m'en cogne. J'ai fait d'autres choses, plus importantes, sur lesquelles je me concentre.

Ce que tu négliges avec ton comportement, c'est la façon dont je (et d'autres) vois mon (leurs) texte(s). Tu le juges par rapport à un standard qui appartient à un monde abstrait de règles. Il n'est pas replacé dans un ensemble, mon ensemble, ma dynamique, ma vie.

Je sais écrire. Je sais penser. Et surtout, pour que celà ait du sens, que cela soit possible et ne soit pas stérile, je ressens. L'écriture repose sur l'émotion, après, on lui donne un cadre.

Je refuse ton cadre et ta façon de parler, elle est anti-vie.

Dans un premier temps, il serait intéressant de saisir une possibilité, un élan, et si l'élan nous intéresse, nous interpelle, nous touche, d'aller plus loin. Et de critiquer par rapport à une base certaine qui est celle de l'individu qu'on lit.

Pour mon bien être, je vais éviter de perdre mon temps plus longtemps. A moins que tu oses devenir plus humain.

[Shedim]

En gros, tu refuses de discuter et de faire des rencontres sous prétexte que quelque chose (la poésie, l'art) serait supérieur au reste (les gens et Johnny).

Je pensais, justement, qu'en ne me limitant pas à ton ton condescendant et agressif qui se veut sûrement drôle, j'aurais le droit à un peu de ta fulgurance. Je me suis trompé.

Même si, pour ce texte, je m'en cogne. J'ai fait d'autres choses, plus importantes, sur lesquelles je me concentre.

Ce que tu négliges avec ton comportement, c'est la façon dont je (et d'autres) vois mon (leurs) texte(s). Tu le juges par rapport à un standard qui appartient à un monde abstrait de règles. Il n'est pas replacé dans un ensemble, mon ensemble, ma dynamique, ma vie.

Je sais écrire. Je sais penser. Et surtout, pour que celà ait du sens, que cela soit possible et ne soit pas stérile, je ressens. L'écriture repose sur l'émotion, après, on lui donne un cadre.

Je refuse ton cadre et ta façon de parler, elle est anti-vie.

Dans un premier temps, il serait intéressant de saisir une possibilité, un élan, et si l'élan nous intéresse, nous interpelle, nous touche, d'aller plus loin. Et de critiquer par rapport à une base certaine qui est celle de l'individu qu'on lit.

Pour mon bien être, je vais éviter de perdre mon temps plus longtemps. A moins que tu oses devenir plus humain.

Oui on peut dire que tu as perdu ton temps