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Poemes divers.


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10 réponses à ce sujet

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    Tlpsien

  • Membre
  • Pip
  • 8 messages

Posté 07 juin 2007 - 12:43

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mon coeur est un ovipare
qui a perdu ses repères
qui va revient et repart
d'un droit chemin de vipère

mon coeur aime les avaries
l'échec est son second toit
mon coeur n'est jamais avare
il est trop tard selon toi

mon coeur a souvent la rage
une rage de dent qui varie
entre le calme plat du père
et la douleur des alpages

mon coeur a pour arbitraire
habitude de s'ouvrir
mon coeur aime à se soustraire
aux folles intempéries

mon coeur a pour habitude
de s'offrir au plus offrant
mon coeur n'est jamais avare
tu ne m'as pas laissé le temps.


--





battre faire battre le coeur
tant qu'il est encore chaud
battre faire battre le coeur
tant qu'il est encore temps

tout de suite
tout de suite
maintenant


tant bien que mal
c'est la fuite


c'est la fuite en avant.



--







coeurs battez vite tant qu'il est encore temps
tant que le feu s'invite aupres des corps transis
que l'excitant palpite vos existences pales
coeurs battez-vite et abattez vos cartes

[dans un élan d'amour] la raideur se détend.




--





de part de part ta beauté muette
début de pont de deuil un cri de mouette
de part à part que je l'admette
tu es un drôle de gateau mou
de port en port tu fais place nette
fée du matin nom d'une alouette
révons dans le role du poete
harpon donnant l'assaut de nous
de part en part ta beauté muette.




-




la terre tourne autour du soleil
tout le monde le sait
c'est pas nouveau
c'est vraiment pas nouveau
mais qui a déjà pensé
que peut-être viendrait le jour
où elle en aurait marre
de jouer les tourniquets
où elle tournerait de l'oeil
ou tomberait dans le sommeil.




--






Cécile dont les cils sont si longs
boucle d'or maquillée
à qui offrez-vous donc vos charmes

est-ce chatain clair ou blond
dommage qu'il y ait
si peu d'amour en pharmacie

Cécile dont les cils sont si longs
laissez-moi m'engouffrer
et déposer les armes.



[ en vérité, elle s'appelait Céline
... je l'ai appris apres ]


--

à l'intérieur de ces noyaux d'armature
de ces noyaux d'amertume il reste comme
un squelette de conscience encore en vie
et dessous l'entassement des cervicales
des cervicales en escalier d'escalier
la vie déploie mutine son puits de tenebres
son puits de tenebres à descendre descendant
dans les limbes profondes

mes vertebres se sont tassées
du cheveu terne aux lombaires
mais le ciel soudain libère
le doux soleil de septembre.




--



bris de bulles à peine écloses
à travers le pare-brise du temps
un gilet par balle pour habit
une bise sur vos tympan


mes mots sont comme le blé
couché par le vent
ma parole une moisson de rose
des bribes de présent.



--






et à quoi ça t'avancera
et à quoi ça t'avancerait
de savoir ça de savoir
que je ne t'aime plus.


--





j'ai trop dansé la samba
je ne sens plus mes jambes
j'ai la facheuse impression
d'en avoir un peu trop fait
je ne sens plus mes jambes
j'ai trop dansé la samba.




--






il ne suffit pas
de mettre des majuscules
et d'aller à la ligne..




--





ce que je sais c'est que je suis amoureux d'elle
mais ne me rappelle plus les traits son visage
et reste prisonnier de ce fameux adage
une de perdue de vue de vos yeux la prunelle
un seul être vous manque et tout est dépeuplé
ce que je sais c'est que je suis amoureux d'elle
mais ne me rappelle plus les traits son visage *
tout ce dont je suis sûr c'est bien qu'elle m'obsede
il faudrait l'oublier que je redevienne sage
que le beau souvenir de ce jeudi décède.



--




elle m'a laissé son stylo
l'a -t-elle fait sciemment
pour que je pense à elle
elle m'a laissé son stylo
en lieu et place d'un téléphone
en lieu et place d'un numéro
elle m'a laissé son stylo
pour que je pense à elle



--

il a suffit de presque rien
d'une variation d'amour
pour que le soleil lui-même
en retard sur son ombre
soit à l'ordre du jour.





--






à visages découverts
émotions démasquées
sur la toile immobile
les extraits sont marqués
de guillemets ouverts.





--







depuis ce licenciment affectif
mes sentiments ont toujours cours
j'espere encore en permanence
respirer encore ton odeur
j'espere encore comme je respire
j'espere encore comme je respire
l'odeur de ton corps

et je cours et je cours
à perdre haleine je cours
apres nos souvenirs



je peux toujours courir..




---






dans les salles obscures
quand la lumière décline
doucement mon coeur bat
daboum

[le fond s'éclaire
humeur caline]
[ ... ]

au fur et à mesure
que la vie fait carrière
l'écran se fait douceur
loukoum

[le dur combat
viendra plus tard]
[ ... ]

une histoire de pierres pures
en avant les prières
une blanche neige qui s'enrhume
atchoum

[repos des gorges
les cris murmurent]
[ ... ]

alors tumeur maline [bénine]
vient le temps coups bas
les héros font l'amour
bathroom

[furia ou rage
perdue d'avance]
[ ... ]

et au fur à mesure °
que le temps passe et meurt
les sanglots d'hiver pleurent
sur un air de mozart
tatum

[jusqu'à la fin
des temps féline]

dans les salles obscures
quand la lumière s'allume
doucement mon coeur bat
daboum




--




vous n'auriez pa vu fanny
fanny n'est pas là si
je ne sais pas où elle est
elle n'est pas dans sa niche
avec ses yeux de biche
je me fais du soucis
vous n'auriez pa vu fanny
fanny n'est pas lassie



--




¤ un bisou de sang
¤ pour celle qui reste de marbre
¤ affalée dans ses cendres
¤ qui jamais ne descend
¤ voir de plus pres les arbres

¤ et mon coeur en morceaux
¤ exsangue d'un coup de foudre.




--






dévorant les azurs verts
la terre est bleue comme une orange
et le jeune vieillard malade imaginaire
s'appitoie sur son [merveilleux] malheur
en esperant qu'un jour peut-être
à la faveur d'un songe
une monstrueuse beauté le prenne
pour cible involontaire.



--





quand au matin de la purée
et de l'épaisse brume
surgit mon inconscient mutin
je repense à la veille
aux alcools endurés
au diner vietnamien

je repense à cette femme
brune sous ses mèches blondes
qui m'avait fait du charme
je repense à cette femme
qui m'avait effleuré la main
comme un cierge qu'on allume.




--






demain j'arrete la moquette
demain j'arrete les croquettes
demain j'arrete les cigares
demain j'arrete les cigarettes

demain j'arrete les mots
demain j'arrete la Kro
demain j'arrete la casse

demain j'arrete je me casse
putain j'ai les crocs.




--





nat'

[détachée]

aux cheveux libres comme l'air
aux taches de rousseur
la peau si blanche
le regard noir
impossible à saisir
quel est son corps
un coup de vent
qui est-elle
un air le nez le doux profil
de la fille qu'il aimait.




--

--





la réussite insolente
l'insolite rue des ans
la route des indes
leurs vestiges ont disparu
ont laissé place en nos coeurs
au souvenir d'une époque
indolente.





--






pas besoin d'idiome en fleur pour
t'ouvrir grand mon coeur de pierre
si l'extérieur du monde a comme
flambeau ce joli son d'ouverture
mon intime amour est lambeaux
rien ne pourra plus désormais
rien pour nos rires sincères
et la terre continue pourtant
insolente de tourner.




--






limonade.

plein d'amour d'une taulière
écoulant une limonade
dégoulinant de sucre
et dont le goût amer du si
du citron vert et doux
faisait brûler nos coeurs

je m'attaque au dessert.



--





j'ai aujourd'hui
samedi douze novembre
raté tous les trains
j'ai beau être un artiste
je n'en suis pas moins homme.



--







si votre gratin est brûlé
et que vos ailes sont en flamme
au doux petit matin
sur le sol cramé du métro
c'est que la nuit s'éteint
et dans l'eau devient larmes.



--





c'était jadis
avant que les écueils
ne s'entassent hostile sur leur main
sur mon chemin de pierre
sous les décombres du temps.





--






cavité interne de l'homme
mon coeur n'est plus à vendre
la cohue s'éternise
la police des moeurs échoue
sur un os elle retombe
puis on change de secteur
qui peut prétendre au bonheur
les anges sonts déchus
quand allons nous diner
madame monsieur bonhomme

c'est l'intrusion de l'âme
par ces lampions éteints.




--






souvent il arrive que nos songes exhortent
sur un élan de joie - en hors d'oeuvre
une thérapeute qui des pleurs indolents porte
que nos verres tintent alors
à l'autre bout du décibel
sur l'étendart d'un arc-en ciel hors d'atteinte
plaie à vif et en joue sur le coeur
les amants incorruptibles se répondent
les thérapeutes du corps insolentes pleurent
le bonheur est d'astreinte
et nos verres trinquent alors
l'oxygene se raréfie



sa seule présence suffit à contourner nos peurs
un seul regard et le ciel rebondit
ça y est là je suis ailleurs
les astres sont au rendez-vou
une fleur trépigne dans la bouteille
nos coeurs sont d'astreinte






[et le silence resplendit]












--



-







il y a des peaux qui sont faites l'une pour l'autre
et des astres qui sont fait pour s'entendre
il y a des être qui sont faits pour être tendre
l'un envers l'autre comme en écho.




--





aucune mémoire des dates
aucune date en mémoire
je n'me rappelle mêm' plus
quel jour c'était hier
de quel temps il faisait
je n'me rappelle mêm' plus
du jour de mon dernier
dernier anniversaire
ni mêm' de mon premier
je ne me rappelle plus
de tout c'qui est derrière
de toi de nous de rien
dernier amour en date.





--






pas besoin de carte non
pas besoin
pas besoin de carte de fidélité non
pour être fidèle
je prends le parti de l'amour
je prends le parti de demain
je prends à partie le futur
et je le mets au défi
de me rendre plus heureux
avec une autre qu'avec elle
je le mets au défi de me donner
une félicité plus grande que celle
que j'ai quand je suis avec elle
une félicité plus grande et belle
que quand je suis amoureux.



--





-

fin du suspens on a perdu
on a perdu en appel
malgré nos appels du pied
la chance n'a pas voulu
n'a pas voulu nous sourire
on a perdu fin du suspens
emballé c'est pesé
nous voilà sur les flancs
en otarie déguisé
en eaux troubles
comme deux ronds de flan
comme des poissons pannés
échoués sur la banquise



fin du suspens on a perdu
ce ne s'ra pas pour cette fois
ce ne s'ra pas pour cette fois non
qu'on aura la victoire
mais on ne s'ra pas coupable
d'avoir manqué de courage
d'avoir manqué de rage
ce ne s'ra pas pour cette fois
mais pour dimanche prochain
ce ne s'ra pas pour cette fois
mais dimanche prochain
on s'ra à nouveau là
balle au pied.



--







si elle perdait ses cheveux
je ne l'aimerais plus jamais
plus jamais comme avant
il serait alors judicieux
qu'elle porte une perruque
ou autre chose de creux
si elle perdait ses cheveux
si soudain sa jolie nuque
se retrouvait à nu
je ne l'aimerais jamais plus
jamais plus comme avant
est-ce ma faute à moi
si j'aime ses cheveux
et sa silhouette fine
devant la nudité
on met des paravents.






---





--

je l'avais vu dedans - le ballon - dans les filets
comme je l'avais vue dedans - la belle marion - dans mes filets
mais la faute à pas d'chance - ou à un coup de vent
elle est passée à côté - à côté de moi sans me voir
de si peu.

je l'avais vue pour moi - un peu vite
la belle marion - la belle marion au regard bleu
je l'avais vue pour moi - un peu vite

je l'avais vue dedans - dans la boîte
de derrière - d'abord - puis de devant
je l'avais revue ensuite - car je l'avais suivie
j'étais tout de suite tombé amoureux
dans cette boîte dans cette boîte de nuit.

je l'avais vue pour moi - un peu vite
la belle marion - la belle marion au regard bleu
je l'avais vue pour moi - un peu vite

si dieu avait vu la scène
car dieu souvent se mêle car il s'embête
dieu souvent se mêle de ceux qui
de ceux qui ne le regardent pas
si dieu avait vu la scène il aurait dit
à croire que le hasard a une dent contre lui

je l'avais vue pour moi - un peu vite
la belle marion - la belle marion au regard bleu
je l'avais vue pour moi - un peu vite

[ en fait je ne sais pas son prénom. ]

[/color]
--
-




pour ton enterrement
tu voudrais des pivoines
mais pour la fête des mamans
l'habit ne fait pas le moine
et je t'en fais le serment
j'ai trouvé une fleur idoine ..


un guzmania .



--




trouvons stylo le temps gagné
et oublions le temps perdu
les mots sont là encore
les mots sont encore là
pour prendre l'or pacotille
pour se faire dorer la pillule
la vie en terre comme témoin
comment oublier ton âme
à l'aube du jour important
celui de la potence
comment oublier que nous sommes
que d'illustres pantins
quand c'est pour bientôt la sortie
comment oublier que
donnez nous l'hostie
l'hostie ou le cyanure


marcel proust sur son lit de mort
aurait voulu qu'on le lui donne
de quoi mourir enfin



--






mon coeur va encore me faire
quelques années encore
quelques années j'espère
même s'il m'en a fait voir
même s'il m'en a fait voir
de toutes les couleurs
mon coeur va encore me faire
quelques années encore
même s'il m'en a fait voir
des vertes et des pas mûres
même s'il m'en a fait voir
de bien belles et des noires.





--












salle de bain.
[ extérieur nuit ]

connaissez-vous cette lacheté
qui en hiver dans la baignoire
vous fait rester une heure sous l'eau
vous vous sentez comme acheté
par le malin au marché noir

connaissez-vous cette lacheté
qui en hiver dans la baignoire
vous fait donc boire à même la peau
mais il fait froid dehors c'est sûr
et sous le jet il fait si chaud

et avidement au gouleau
et avidement vous buvez
par tous les pores de votre peau
la chaleur à l'état pur
à la sortie du pommeau




--







j'ai du mal à me faire à l'idée
que tout est fini entre nous
les fleurs quand elles meurent
les fleurs sont fannées fanny
nous nous n'étions que remous
c'est dur d'imaginer de vivre
c'est dur d'imaginer de faire
le reste de ma vie sans vous.



--



alfred ?


alfred va bien enfin je crois
la dernière fois que je l'ai vu
il était cul nu sur la plage
à engueuler les anges
raide mort comme un putois




--





son odeur sur mes vêtements
revet un parfum de scandal
parfait pour aiguiser
mon appétit de vandal
son odeur sur mes habits
a mis des fleurs à mon âme
et du baume à mon coeur.





--





elle se douchait au palm olive
et moi j'aimais sa peau si douce
ses ongles longs ses yeux de louve
qui dans l'ombre me servaient d'indice

elle se douchait au palm olive
et moi je la regardais faire
avec une envie de salive
de l'électricité dans l'air.




--


[/list]

#2 str

str

    Tlpsien

  • Membre
  • Pip
  • 8 messages

Posté 07 juin 2007 - 12:47






l'homme craintif campe sur ses valeurs
et pourtant son coeur berce la vie
et l'inconditionnelle chaleur
de l'aube à son réveil.




--







la voix morose de l'ennui
n'est plus de mèche avec l'écho
du silence de la nuit

la voix morose de l'ennui
me dicte de m'échapper des choses
dont l'âme est en sursit

la voix morose de la survie
de nos existences en sursauts
me dicte mon sursis.






--









je mène l'échange
je mène la danse
j'ai toutes mes chances
face à cet ange.







--









je me suis goinfré
de vin et de truffe
de groin de boursin
je me suis goinfré
et puis j'ai pris le train
pour aller loin
pour aller loin d'ici
pour aller à cardiff
ici tout va bien
c'est différent mais rien
mais rien n'est difficile
ici tout va bien
je suis confiant serein
les doutes sont effacés
tardifs.








--










j'ai eu le scalp d'un cyclope
lors de mon escapade au cap
le pauvre n'était pas nyctalope
je l'ai scalpé de pied en cape.






--










je suis crevé et j'ai crevé
mais ce n'est pas la fin du monde
heureusement je ne suis pas mort
le monde peut continuer de tourner.









--














féline aurélie au maintien si princier
on aurait pu pensé
certains auraient pu dire
que vous auriez pu apprécier
mes altruistes carresses

féline aurélie au maintien si princier
comment ai-je pu pensé
ne serait-ce qu'un instant
que vous m'accorderiez vos faveurs
que je ne ferais pas choux blanc.








--











mon garde du coeur est parti
garder d'autres troupeaux
et je bois comme un trou
communiste sans parti.





--











la suspicion me pèse encore
la suspicion me pèse
et le scorpion sur ma cuisse
soudain se sent prisonnier
comme souvent
si l'on pouvait changer la pierre
en un bouquet de fleurs [ .. ]
si l'on pouvait changer la peur
la suspicion me pèse
au vent mutin de mars
si l'on pouvait changer la pierre
la suspicion me pèse encore
la suspicion me pèse.





--







déjà dire je t'aime c'est dur
mais dire je ne t'aime plus
c'est encore pire
dire cela l'est encore plus
c'est dire ..






--


#3 Invité_Haïgu Maya_*

Invité_Haïgu Maya_*
  • Invité

Posté 07 juin 2007 - 01:16

un vent frais passe
il est tendre et rieur
l'attraper vite
avant qu'il ne tombe

:wub:

#4 Carla.

Carla.

    Tlpsien +++

  • Membre
  • PipPipPipPip
  • 2 000 messages

Posté 07 juin 2007 - 02:20

On ressent comme une urgence à dire les silences, les non-dits, l'essentiel en quelques mots, à ta façon. Impression d'une poignée de sable/de mots dans la main, avec leur beauté furtive...Voilou, c'est perso.

#5 Salam

Salam

    Tlpsien ++

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Posté 07 juin 2007 - 05:59

Je reviendrais

#6 ___

___

    The Fresh Prince Al Adriano

  • Membre
  • PipPipPipPip
  • 574 messages

Posté 07 juin 2007 - 07:50

c'est très faible.

parfois on dirait un concours des pires clichés poétiques. entre autres, juste pour le plaisir des amateurs, on peut relever :
un bisou de sang
licenciment affectif
mes mots sont comme le blé
la réussite insolente/ l'insolite rue des ans
j'ai beau être un artiste /je n'en suis pas moins homme
je prends le parti de l'amour
les fleurs sont fannées fanny


du coup, c'est parfois très drole, involontairement

à la rigeur yen a un dans le tas qui passe, c'est :
"si elle perdait ses cheveux
je ne l'aimerais plus jamais
plus jamais comme avant
il serait alors judicieux
qu'elle porte une perruque
ou autre chose de creux
si elle perdait ses cheveux
si soudain sa jolie nuque
se retrouvait à nu
je ne l'aimerais jamais plus
jamais plus comme avant
est-ce ma faute à moi
si j'aime ses cheveux
et sa silhouette fine
devant la nudité
on met des paravents."

c'est loin d'etre génial, mais au moins t'en fais pas des tonnes inutiles.

#7 strofka

strofka

    Tlpsien

  • Membre
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  • 6 messages

Posté 08 juin 2007 - 11:26

c'est très faible.



marrant que tu oses [dis]qualifier ma poésie de " faible ".
venant de toi ça serait presque un compliment.


" Demain se lève en moi
Il me montre ce que je n'étais pas

Il m'amène les plaines, les grands pays où je n'étais

Il se confond avec hier !

Il lui importe de me plaire, nous mangeons dans cette même main
Elle, seule, et grisée déjà

Elle est remplie de vérités qui cachent
Elles, nombreuses, et déjà

Je reprends la descente qu'il ne sait où trouver dans son regard précoce "


si ma poésie est faible
alors la tienne doit être
inexistante.



-

#8 ___

___

    The Fresh Prince Al Adriano

  • Membre
  • PipPipPipPip
  • 574 messages

Posté 08 juin 2007 - 05:35

oh oui, de la vengeance ! on parlait de ton texte, là. forum free fighting style de cm2.

#9 strofka

strofka

    Tlpsien

  • Membre
  • Pip
  • 6 messages

Posté 09 juin 2007 - 11:06

-



simple comparaison.
les lecteurs pourront juger.

-


#10 ___

___

    The Fresh Prince Al Adriano

  • Membre
  • PipPipPipPip
  • 574 messages

Posté 09 juin 2007 - 11:59

non mais strofka tu te fais du mal à toi même, là. tu sais, tes poèmes sont vraiment faibles, je le pense. mais tu as la majorité de ton coté, et les meilleurs avec ça. et le jeu de coudes ne m'interesse pas, désolé.

#11 INFONTE

INFONTE

    INFONTE

  • Membre
  • PipPipPip
  • 57 messages

Posté 10 juin 2007 - 01:01

Qui prétend que ces textes sont faibles ? Non, ce ils ne sont pas faibles.
Ils sont ... euh ...