6 réponses à ce sujet

[INFONTE]

Silence aux aguêts. Voici, ... l'oiseau chante.
Trois longues s'étirent jusqu'aux quatre brèves.
Les têtes des sapins frissonnent. S'élève
L'escalier depuis l'enfer de Dante ;

C'est là où s'encagent de ces sons qu'aimantent
Les atomes d'âmes dont se font les rêves,
Dont vivent les forêts qui puisent leurs sèves
Dans le sang des couleurs et l'humus des plantes.

Que coulent les larmes sur nos portées, nos cils ...
Des mots, des mots ! Tu m'entends ? Eux ? Qui ... ILS ?
Bon Dieu, combien, depuis quand me hante

Cette haine d'aimer ? Faut-il que j'en crève ?
Assez, c'est assez ! Mais ... Voici ... l'oiseau chante.
Et puisqu'il faut croire. J'accepte la trêve.

[INFONTE]

L'alcool ... oui. L'eau ferrugineuse, ... euh, ... non.
Le rythme .... .... L'arythmimétrinique, ... euh ...
(Mé)trique indécentes.

[INFONTE]

C'est bien.

[INFONTE]

Ah, vous, vous, vous, Farid Khenat ... qui voulez m'apprendre la versification ...
Ahah ...
Et ne me tutoyez pas, mon petit monsieur. Nous ne nous connaissons pas.
Salutations.

[lio...]

Le dédain n'exigerait-il pas une formule de politesse moins abrupte telle que,

" Je vous prie de bien vouloir agréer l'expression de mon..."

[INFONTE]

Le dédain n'exigerait-il pas une formule de politesse moins abrupte telle que,

" Je vous prie de bien vouloir agréer l'expression de mon..."

Non, rien n'exige.
Ce n'est pas du dédain.