En allant vers la liberté
Passe par un cordon des fils
À arracher à la source la carte-mère
De la liberté des devises... D'abord circule ce qui n'est pas toi en avant
Avant ton corps ce n'est même pas ton âme
Qui passe avant la liberté
C'est nous faussement nous et toi un grand cadavre
Tenu couché... Libre... Lève-toi et marche ! Des fils traînent
Dans le sol en arrière de la liberté... Comme de longs cheveux
Frottent la poussiére s'attachent aux arbres aux colonnes
De villes ruinées
Cette fois ton corps se recouvre de mousse
Et tu passes pour arbre...
En avant
Débuté par Balthazar, oct. 20 2008 11:51
2 réponses à ce sujet
#1
Posté 20 octobre 2008 - 11:51
#2
Posté 21 octobre 2008 - 12:20
keskispasse, la mélancolie des ruines
#3
Posté 21 octobre 2008 - 11:07
J'aime particulièrement ce passage:
Dans le sol en arrière de la liberté... Comme de longs cheveux
Frottent la poussière s'attachent aux arbres aux colonnes
De villes ruinées
Cette fois ton corps se recouvre de mousse
Et tu passes pour arbre...
Dans le sol en arrière de la liberté... Comme de longs cheveux
Frottent la poussière s'attachent aux arbres aux colonnes
De villes ruinées
Cette fois ton corps se recouvre de mousse
Et tu passes pour arbre...