
come prima
#1
Posté 07 mars 2007 - 08:38
ils jouaient à la démence,
à l’utopie
c’étaient des oiseaux, des bêtes
qui pleuraient
l’incertitude de leurs prisons
par le sable atrophié
ils étaient acteurs, mirage
aux mains bandées
un appétit curieux
#2
Posté 07 mars 2007 - 09:25
de l’enceinte volatile des jardins
ils jouaient à la démence,
à l’utopie
c’étaient des oiseaux, des bêtes
qui pleuraient
l’incertitude de leurs prisons
par le sable atrophié
ils étaient acteurs, mirage
aux mains bandées
un appétit curieux
Mystérieux à souhait. J'ai aimé... même si j'ai ripé un peu sur "l'incertitude de leurs prisons".
Jaguar.
#3
Posté 07 mars 2007 - 11:28
(sinon, poème qui se laisse lire...)
#4
Posté 07 mars 2007 - 02:51
Je m'y suis laissé enfermé!
Bien revenu!!!
#5
Posté 08 mars 2007 - 12:05
il n'est pas impossible de danser sur ses cendres.
#6
Posté 08 mars 2007 - 01:32
c’étaient des oiseaux, des bêtes
qui pleuraient
l’incertitude de leurs prisons
Je n'ai pas souvent la clé pour ouvrir cet Eden, mais je ne déteste pas sentir, au sens propre presque, qu'il y a du beau que je ne peux pas toujours attraper.
C'est ce que je ressens ici.
#7
Posté 08 mars 2007 - 02:34
A leurs pieds
Mais le soleil
Glisse ses longues mains douces
Dans leur sérail
Les jardins se répandent
A perte de mémoire
L'amour porte ses fruits
Deux enfants s'éloignent des corps
La voix morose de l'ennui
N'est déjà plus qu'un écho de pluie
Il ne pleut jamais longtemps
Sur leurs visages
elle aime ses mains
Qui cultivent l'enfance
Le verbe et l'océan
#8
Posté 17 mars 2007 - 03:34
#9
Posté 08 juillet 2009 - 03:26

#10
Posté 08 juillet 2009 - 03:28
bon, tu vas tous nous les ressortir de la penderie, ces vieux cadavresTiens, de la poésie...
en plus mon unique opus va passer à la trappe prématurément
c'est po juste