
Ton sourire d'amour et de mort me renoue à l'instant
#1
Posté 15 novembre 2008 - 06:40
#2
Posté 15 novembre 2008 - 06:49
imagé le temps de l'instant
le corps est là en équilibre et en même temps il disparaît
-Hors nos lois-
j'imagine le contraste avec hors la loi
le je disparaît dans le multiple
j'aimerais exprimer quelque chose comme cela
très bel instant, merci
#3
Posté 16 novembre 2008 - 08:10
Je sais l'ignorance qui borde ma rive
Je suis en deuil de ma demeure,
Je passe le seuil de la douleur.
De tes yeux de givre,
Tu réponds.
J'interroge :
Le présent est [encore] en fuite.
Déracinée de la séparation,
Affranchie de la permission,
Je suis aux portes de ma demeure.
http://www.toutelapo...ive-t17827.html
#4
Posté 16 novembre 2008 - 08:56
c'est précis
imagé le temps de l'instant
le corps est là en équilibre et en même temps il disparaît
-Hors nos lois-
j'imagine le contraste avec hors la loi
le je disparaît dans le multiple
j'aimerais exprimer quelque chose comme cela
très bel instant, merci
Merci de ton passage
et d'avoir apprécié ce temps...
La passagère
#5
Posté 16 novembre 2008 - 03:56
Je me suis laissé emporter dans ton sillage.
Trés joli
Amicalement Philippe
#6
Posté 16 novembre 2008 - 04:12
Bonjour ,PDS
Je me suis laissé emporter dans ton sillage.
Trés joli
Amicalement Philippe
Bonjour Philippe,
Un voyage hors de l'instant
Et pour l'Instant...
Merci de m'accompagner.
Amitiés,
La passagère
#7
Posté 16 novembre 2008 - 06:28
#8
Posté 16 novembre 2008 - 07:54
Reliant aujourd'hui à demain
Le présent en écume
Bien beau texte que le tien
Amitiés, Passagère
#9
Posté 16 novembre 2008 - 08:30
Magnifique.
Merci beaucoup Claire.
Amitiés,
la passagère
#10
Posté 17 novembre 2008 - 06:36
Un sourire comme un pont fragile
Reliant aujourd'hui à demain
Le présent en écume
Bien beau texte que le tien
Amitiés, Passagère
Le fragile et l'éphémère de l'instant
nous relient au plus vaste...
merci à toi,
Amitiés charly java
#11
Posté 22 novembre 2008 - 08:21
Il y a de doux et étranges rivages, comme des vertiges insensés, qui écoulent la mer étale de leurs sons, il y a ces autres territoires, lorsque l'amour est une autre loi, et la joie sa compagne...lorsque se boivent des eaux infinies...Etre à portée des rivières,
Sur le déséquilibre des rivages
-Encordée à ta joie-
Avoir la chance de tout perdre,
A l'heure où nos disparitions surnagent
-Hors nos lois-
Dans le chaos et le doute des prières,
Je me dissous, je me perds en sillageInexprimable Soi...
Au sable du désert se dessinent des rêves, écrits sur l'encre des peaux...et l'eau se glisse en ces grains de sable, qui doucement s'égrènent sur la peau des instants, sur la peau de ceux qui s'aiment, ici, ailleurs, au bord des océans, au pays du soleil levant.
"Avoir la chance de tout perdre,
A l'heure où nos disparitions surnagent
-Hors nos lois-"
Hors les peurs, s'abandonner à la beauté de ces instants...ni passé, ni futur, le présent pour unique vêtement...
Cette chance de tout perdre et d'aimer, de se laisser aller à aimer, pleinement, sans regarder le futur.
Qu'est le futur au regard de ce qui est, ici et maintenant?
Disparaître...se fondre...au-delà du néant...là où est le plein...et où tout se délie...
J'ai aimé cet absolu où se fondent des vertiges, lorsqu'on s'en va ailleurs, ne sachant où, hors du temps, lorsque l'éternité se tient dans cette fusion...où rivages se fondent...
Le sillage de l'amour dans la plénitude l'instant...j'ai aimé ce si beau sillage que tu nous as offert là ...
Merci, chère Passagère. Infiniment.
Ce poème m'est précieux, en ces instants...où cet hors du temps a été...puis perdu...et demeure...présent...même si...perdu...pour d'autres instants...
Amitiés
Fleur de Lotus
#12
Posté 24 novembre 2008 - 05:04
Il y a de doux et étranges rivages, comme des vertiges insensés, qui écoulent la mer étale de leurs sons, il y a ces autres territoires, lorsque l'amour est une autre loi, et la joie sa compagne...lorsque se boivent des eaux infinies...
Au sable du désert se dessinent des rêves, écrits sur l'encre des peaux...et l'eau se glisse en ces grains de sable, qui doucement s'égrènent sur la peau des instants, sur la peau de ceux qui s'aiment, ici, ailleurs, au bord des océans, au pays du soleil levant.
"Avoir la chance de tout perdre,
A l'heure où nos disparitions surnagent
-Hors nos lois-"
Hors les peurs, s'abandonner à la beauté de ces instants...ni passé, ni futur, le présent pour unique vêtement...
Cette chance de tout perdre et d'aimer, de se laisser aller à aimer, pleinement, sans regarder le futur.
Qu'est le futur au regard de ce qui est, ici et maintenant?
Disparaître...se fondre...au-delà du néant...là où est le plein...et où tout se délie...
J'ai aimé cet absolu où se fondent des vertiges, lorsqu'on s'en va ailleurs, ne sachant où, hors du temps, lorsque l'éternité se tient dans cette fusion...où rivages se fondent...
Le sillage de l'amour dans la plénitude l'instant...j'ai aimé ce si beau sillage que tu nous as offert là ...
Merci, chère Passagère. Infiniment.
Ce poème m'est précieux, en ces instants...où cet hors du temps a été...puis perdu...et demeure...présent...même si...perdu...pour d'autres instants...
Amitiés
Fleur de Lotus
Merci chère fleur...
Je sais l'unisson de ces étranges tourments
que tu perçois également.
Au fronton de nos passions...
Amitiés,
La passagère