Atonique, je m'enterre dans les abysses du temps,
À la recherche de ton estime.
Moi l'égaré des refreines de ta peau !
La gélive de couleur.
Poussière de mes larmes.
Je m'établis sur ton corps sculpté d'envies.
Toi la si vitale à mon ennui.
L'énigme mélopée ou charade égarée,
La svelte pudeur, ange chevaleresque. Ma vie.
Née de mes valences et de la pluie
Née de mes maux en agonie
Je respire l'ombre étatique
L'âme éthérée de ton parfume
M'envole avec l'illusion d'or
De ta chevelure.
Toi qui m'es noctuelle
Ombre aujourd'hui
Alizé demain
Toi qui m'es miel de corolle
Jasmin et Margueritte
Je respire l'ombre de cette romance
Me médite dans le miroir bleu
De tes larmes.
Moi - que je ne connais toujours pas -
je pense à toi.
pense à moi
Débuté par miel d'orange, nov. 16 2008 02:46
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