aux amarrés tombales
éblouissantes de cimetières
nos cœurs seuls allaient
affluents des lunes
il fut un long cri
pieu moment sans ailes
d'une cigogne éternelle
sous les scènes que nous fûmes
Vie d'un rêve...
Débuté par Epictète, juin 27 2007 07:26
7 réponses à ce sujet
#1
Posté 27 juin 2007 - 07:26
#2
Posté 27 juin 2007 - 08:34
ouais très héloisien
#3
Posté 30 juin 2007 - 03:51
Oui, nul.
#4
Posté 30 juin 2007 - 03:55
oué bé allez vous faire foutre. ct pour les meufs. crevards.
#5
Posté 30 juin 2007 - 06:00
ca ressemble a belvis
#6
Posté 01 juillet 2007 - 04:24
ct pour les meufs.
alors merci...
#7
Posté 01 juillet 2007 - 05:44
ca ressemble a belvis
Pas belvis,
mais
belrimes...
J'aime beaucoup.
#8
Posté 01 juillet 2007 - 10:55
Quand il tâte et qu'il tête
C'est son corps tout entier qui s'entête
Il a l'incocuité de sa raison
Il a la déraison de sa folie
Il a les mots de son lis
Et donne de son breuvage comme rogne la passion...
C'est son corps tout entier qui s'entête
Il a l'incocuité de sa raison
Il a la déraison de sa folie
Il a les mots de son lis
Et donne de son breuvage comme rogne la passion...