ses yeux luisaient bordés de nuit
traversés d'éclairs de rubis
Elle était mignonne avec des tous petits pétons
A croquer et à mordre comme ses jolis tétons
Posté 06 juin 2009 - 07:54
ses yeux luisaient bordés de nuit
traversés d'éclairs de rubis
Posté 06 juin 2009 - 11:31
Elle était mignonne avec des tous petits pétons
A croquer et à mordre comme ses jolis tétons
Posté 06 juin 2009 - 12:21
Mince! Je ne suis pas Valentine
Mais une chinoise très mutine
Posté 06 juin 2009 - 08:28
Et lui la regardant songeait à son butinSous un ciel d'orient la dame très mutine
Et elle allait et venait, petite abeille butine
Posté 07 juin 2009 - 03:20
Et lui la regardant songeait à son butin
A trente Euros le coup ça fait gerber putain
Posté 07 juin 2009 - 04:41
Je pète, je chie puis je rigole
Parce qu'elle me fout la gaule
Posté 07 juin 2009 - 05:33
en bouche en foune en cul la Chinoise est fourrée
le Chao Xing ensuite : elle est total bourrée
Posté 07 juin 2009 - 06:42
Posté 07 juin 2009 - 07:46
D'un geste sûr et ravissant
elle le planta entre ses dents
Posté 08 juin 2009 - 10:38
Posté 08 juin 2009 - 12:53
"J'ai raison de détester les schémas
par moi le sperme ne passera pas!"
dit-elle
Posté 08 juin 2009 - 01:23
pas plus en haut qu'en bas (d'ailleurs j'ai mes menstrues)
que derrière au dernier des trous que tu m'obstrues
Posté 08 juin 2009 - 01:48
surprise donc, aux mains de l'amoureux poète :Erreur c'est travesti que le soumis fût investit,
Pas d'autre passage donc, que le sens interdit !
Posté 08 juin 2009 - 07:19
surprise donc, aux mains de l'amoureux poète :
au lieu d'un tendre nid il trouve une baguette
Posté 08 juin 2009 - 08:55
avec laquelle il trouvera de l'eau
ruisselante et courant dans un caveau
Posté 08 juin 2009 - 09:40
Cette voie-là , dieu qu'elle est penetrable !
Que d'eau ! que d'eau ! en plus elle est potable.
Posté 08 juin 2009 - 11:15
Fontaine inaltérée aux reflets irisés
On y peut boire la vie ou alors se cacher
Posté 09 juin 2009 - 08:44
quel vertige m'inspire un si beau précipice !
j'ai désir d'y lâcher quelque dru jet de pisse
Posté 09 juin 2009 - 10:41
c'est l'eau plane qu'hélas concrétise mon jet,
me brouillant le loisir de creuser mon projet
Posté 09 juin 2009 - 11:40
je n'ai plus qu'Ã errer nu
dans le soir aspiré, lu
Posté 09 juin 2009 - 12:52
Parfois tout nu il pissait droit contre le vent
Mais cela lui revenait dessus très souvent
Posté 09 juin 2009 - 02:05
ça faisait rire les escargots
qui regardaient son vermisseau
Posté 09 juin 2009 - 02:33
ça faisait rire les escargots
qui regardaient son vermisseau
Et pleurer son père qui avait perçu
l'ânerie compère de son fils couillu
Posté 09 juin 2009 - 03:03
corne claire et pourtant difficile à saisir
quand toujours à l'eau froide on la voit rétrécir
Posté 09 juin 2009 - 05:05
le poète déçu des charmes de la lune
regrette amèrement que le ciel n'en ait qu'une
Posté 09 juin 2009 - 07:51
Mais il préférait sans doutes les senteurs de ses narines
Lorsque obstinément il fréquentait les communes latrines
Posté 09 juin 2009 - 08:24
Parfois, lorsque je peux, je chante
et, je chante les louanges, de ce qui m'enchante !
Posté 09 juin 2009 - 08:56
Elle avait dans son cœur une profonde tristesse
Mais ses yeux, c'étaient cette sombre tendresse
Posté 09 juin 2009 - 09:11
Dans cette abîme irisée du miroir de l'âme,
Réside le coeur sublime à l'instar d'une flamme.
Posté 09 juin 2009 - 09:23
Lorsque sera venue sa dernière heureIl se peut que la flamme, s'éteigne pour de bon,
toute flamme qui brûle, n'enfante que charbons.