hommage à tous les animaux. de ma part: farid khenat à bibi.
#1 Invité_ortiekhenat_*
Posté 14 juillet 2007 - 07:27
#2
Posté 14 juillet 2007 - 09:56
#3
Posté 14 juillet 2007 - 10:02
Le malheur de tes mots malins
N'a que toi comme cause fatale.
J'aime les animaux sauf un animal
Il n'est ni blanc ni noir il est albinos
Cet animal se prend aux animaux
Parce qu'il ne fait pas la différence
Entre compétion et concurence
Aucune concurence ou competition
Je ne fais à ta poétique prétention
Laisse en paix mon beau pseudo bibi
Va trouver à tes peines un autre alibi.
bibi
le revers de la monnaie métaphorique
#4
Posté 15 juillet 2007 - 09:51
Pour attirer l`attention?
Monsieur Khenat, ne le faites plus, je vous en prie!
#5
Posté 15 juillet 2007 - 09:58
#6
Posté 15 juillet 2007 - 10:06
#7
Posté 15 juillet 2007 - 02:45
Les chiens noirs n'effrayaient que leurs maîtres=9
Quand ils aboient leurs faims et leurs misères=10
Souvent, de peur de mourir loin de leur bouchère.=12 (Tiens! Tu l'as fait exprès?)
Les chats, sous leurs flemmes, loin des traîtres=9
Qui les revendaient bien aux prix d'un oignon *=11
Où les chiens noirs se vendaient avec leurs biberons,=13
*au pied?
Etc.
incohérence des temps:"n'effrayaient"/"aboient"
J'ai déjà vu des chats sous le lit, rarement "sous leurs flemmes".
D'ailleurs, chaque chat a SA flemme: question de logique (mais quand on ne sait déjà pas compter des syllabes...).
Que cela ne nous empêche pas de goûter la puissance et la beauté fulgurante de la métaphore khénatienne:
"Où les chiens noirs se vendaient avec leurs biberons"...
Dis, Farid, tu chausses du combien? Melvita250.jpg 9,77 Ko 8 téléchargement(s)
#8
Posté 15 juillet 2007 - 03:37
Oui je sais, elle était facile.
Artemisia
Désolée, j'ai pas pu m'empêcher.
#9 Invité_solitairekhenat_*
Posté 15 juillet 2007 - 08:59
tu sais pritos ! pour compter mes syllabes je n'aurais pas besoin de toiDis, Farid, tu chausses du combien? Melvita250.jpg 9,77 Ko 8 téléchargement(s)
/.../.../.../.../.../.../.../.../.../.../.../.../ sans compter les (s) et les (e) des rimes mais j'en suis désolé de te dire que vous ne méritez pas
du vrai classique bien sûr je parle des fripouilles comme toi.
l'hirondelle n'a pas à parler et elle n'a rien à dire du moment qu'elle ne tient qu'à un fil et elle en sait.
#10
Posté 16 juillet 2007 - 06:45
Quand j`ai qqch à dire,je le dis...Si je vois la poésie dans des poèmes , j'ai le droit de le direl'hirondelle n'a pas à parler et elle n'a rien à dire du moment qu'elle ne tient qu'à un fil et elle en sait.
Si non ce n'est pas la peine d'en parler...
#11
Posté 16 juillet 2007 - 08:20
/.../.../.../.../.../.../.../.../.../.../.../.../ sans compter les (s) et les (e) des rimes mais j'en suis désolé de te dire que vous ne méritez pas
du vrai classique bien sûr je parle des fripouilles comme toi.
Prétexte puéril pour cacher ta nullité en la matière!
l'hirondelle n'a pas à parler et elle n'a rien à dire du moment qu'elle ne tient qu'à un fil et elle en sait.
Ainsi, toi, CrétinKhenat, tu décides de qui a le droit de parler ou pas?
(En passant: "elle en sait", ce n'est pas du français.)
Tant de prétention relève du bouffresque: Ubukhenat, 'patapoéte!
#12
Posté 16 juillet 2007 - 09:32
Merci pour ton soutien...
Amitiés,H.
#13
Posté 22 juillet 2007 - 09:01
Les chiens noirs n'effrayaient que leurs maîtres
Quand ils aboient leurs faims et leurs misères
Souvent, de peur de mourir loin de leur bouchère.
Les chats, sous leurs flemmes, loin des traîtres
Qui les revendaient bien aux prix d'un oignon
Où les chiens noirs se vendaient avec leurs biberons,
S'étiraient lentement pour irriter tous les salpêtres
Qui n'arrêtaient pas de se plier devant les cravaches
De ceux qui montraient ça et là leurs ardues tâches.
Je suis un peu dur pour aimer les chiens et les êtres
Les apprivoisant de loin ou de près, noirs ou blancs
Berger ou loup ou tout autre bâtard sous les ponts.
Je suis un peu cynique, pour laisser un chat maigre
Entre les chiens de la bouchère, mourir de faim ;
J'en offrirai à manger aux animaux sauvages bien
Avant ceux que vous avez dressés pour le bien-être
Des personnes que vous chérissez bien comme eux
Quand ils perdront le flaire la force et les nœuds.
Les chiens noirs n'effrayaient que leurs maîtres
Quand ils aboient leurs faims et leurs misères
Souvent, de peur de mourir loin de leur bouchère.
Les chats, sous leurs flemmes, loin des traîtres
Qui les revendaient bien aux prix d'un oignon
S'étiraient librement pour irriter les chiens poltrons.
moi farid khenat.
" j'ai une monnaie métaphorique "
Je ne pense pas que tu sois raciste, je comprends le message que tu veux passer
Je l'ai reçu 5/5 Merci à toi
#14
Posté 22 juillet 2007 - 09:12
Le malheur de tes mots malins
N'a que toi comme cause fatale.
J'aime les animaux sauf un animal
Il n'est ni blanc ni noir il est albinos
Cet animal se prend aux animaux
Parce qu'il ne fait pas la différence
Entre compétion et concurence
Aucune concurence ou competition
Je ne fais à ta poétique prétention
Laisse en paix mon beau pseudo bibi
Va trouver à tes peines un autre alibi.
bibi
le revers de la monnaie métaphorique[/quo